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Alexandre Pouchkine
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À lire Alexandre Pouchkine on a l'impression qu'il pense en vers tant sa poésie coule de façon limpide. Quand il commence à écrire Eugène Onéguine, le poète a laissé derrière lui sa période romantique. Le ton est libre, tour à tour grave, mélancolique, empreint d'humour. Pouchkine porte un regard pénétrant, voire caustique, sur les castes dirigeantes et nous dépeint le petit peuple, le monde du théâtre et de la littérature. Si son héros donne son nom au roman, c'est avec amour que Pouchkine trace le portrait de Tatiana, jeune femme aux hautes aspirations morales, sensible et cultivée.
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La dame de pique
Alexandre Pouchkine
- Sarbacane
- Les Grands Classiques Illustres
- 5 Octobre 2016
- 9782848659046
Une nuit d'hiver, cinq amis discutent du secret que de´tiendrait la comtesse Anna Fedotovna : trois cartes gagnantes a` coup su^r au jeu. Fascine´, Hermann, jeune officier pauvre te´moin de la sce`ne, se´duit Lisabeta Ivanovna, la demoiselle de compagnie de la comtesse, afin de s'introduire aupre`s de la vieille dame. Mais lorsqu'il la menace avec son arme, la comtesse meurt d'effroi...
La nuit de l'enterrement, son fanto^me entre chez Hermann et lui re´ve`le la combinaison : trois, sept, as. Hermann joue les deux premie`res cartes avec succe`s. Le troisie`me soir, il place tous ses gains sur l'as. Or, c'est la dame de pique qui sort alors, a` la place de l'as ! Et cette dame a la figure de la comtesse et lui adresse, de nouveau, un clin d'oeil moqueur... E´pouvante´, Hermann sombre dans la folie
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La magie habite Les Récits de feu Ivan Belkine : duels, déguisements, méprise, rêverie, amours tendres... autant de comédies de situation où le hasard est le roi de l'univers. Mais le fantastique prend aussi des allures sombres avec l'obsession d'Hermann, héros désespéré de La Dame de pique, qui joue sa dernière carte. La noirceur colore également La Fille du capitaine où la nature et l'Histoire se déchaînent dans un tourbillon de passions emportant les protagonistes vers la
perte ou vers le salut de leur âme.
Incontournable, l'écriture virtuose d'Alexandre Pouchkine est à l'origine de la langue russe moderne. Libre et facétieuse, la prose du grand poète donne le la à tout le roman russe.
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Impression en « gros caractères ». Extrait : Mon père, André Pétrovitch Grineff, après avoir servi dans sa jeunesse sous le comte Munich, avait quitté l'état militaire en 17... avec le grade de premier major. Depuis ce temps, il avait constamment habité sa terre du gouvernement de Simbirsk, où il épousa Mlle Avdotia, 1ere fille d'un pauvre gentilhomme du voisinage.
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La poésie d'Alexandre Pouchkine coule de source, elle est évidente, immédiate, harmonieuse et limpide. Une grande partie de l'oeuvre du génie fondateur de la littérature russe, tout comme sa vie brève et tumultueuse, est placée sous le signe de l'amour, ou plutôt d'amours multiples et variés. Charnel, platonique, passionné, transi, Pouchkine les aura tous connus et célébrés dans ses vers. Et c'est l'amour encore qui causa sa mort suite à un duel. Mais Pouchkine demeure éternellement vivant dans le coeur des Russes et son influence est immense dans son pays et au-delà : « Pouchkine m'a inoculé l'amour, le mot «amour» », affirme Marina Tsvetaeva.
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Considéré comme un des premiers grands chefs-d'oeuvre de la prose russe, Le Nègre de Pierre le Grand devait être un vaste roman historique inspiré par la vie d'Abraham Piétrovitch Hannibal, arrière- grand-père maternel de Pouchkine.
Originaire d'Ethiopie, ou peut-être du Cameroun, fils d'une puissante famille, Hannibal fut fait prisonnier à l'âge de sept ans par une tribu ennemie. Vendu comme esclave à Constantinople, il fut acheté par un envoyé du tsar Pierre le Grand, qui en fit son filleul, puis son secrétaire.
Le Nègre de Pierre le Grand, malheureusement inachevé, relate avec une merveilleuse vivacité plusieurs épisodes de la vie d'Hannibal, singulière et brillante figure de l'Europe des Lumières.
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L'oeuvre illustre d'un poète illustre. Eugène Oniéguine, c'est toute la Russie du début du XIXe siècle. Une oeuvre en laquelle tous les Russes se reconnaissent depuis sa composition jusqu'à nos jours, et qui marquera à jamais l'âme de ses lecteurs de son empreinte impérissable.
L'histoire de la composition de ce livre fondateur de la littérature russe, c'est l'histoire même de Pouchkine, de sa vie d'homme épris de liberté et de fantaisie. C'est aussi comme une prémonition de son destin : la mort de Vladimir Lienski, personnage secondaire de l'oeuvre, dans un duel stupide, semble préfigurer le duel-assassinat de Pouchkine lui-même. Le grand poète a écrit, on le sait, d'autres pages, belles, passionnantes, souvent marquées d'un humour à la fois léger et grave, mais Eugène Oniéguine reste son legs capital, sous la forme d'un roman de "compilation" de plus de 400 sonnets mis à la suite, chacun offrant, le plus souvent, un sens complet. La traduction de ce chef-d'oeuvre a été une véritable gageure, relevée avec une maîtrise lumineuse par Roger Legras.
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Alexandre Pouchkine,poète génial, romancier, créateur de la langue littéraire russe moderne, est l'orgueil de la Russie, son symbole. Ces oeuvres dans lesquelles se reflète l'âme russe, ont été publiées en millions d'exemplaires et traduites en plusieurs dizaines de langues du monde.
Dans son héritage littéraire ses contes en vers occupent une place particulière, basés sur le folklore national russe. Ici Pouchkine se souvient des contes russes, immémoriaux, que lui récitait sa « niania » quand il était enfant, comme à tant d'enfants. Pouchkine les transfigure avec son génie propre, tout en parvenant à restituer la candeur incomparable et l'authenticité du conte populaire.
« On se retrouve, dès les premiers mots de Pouchkine, emporté dans un tourbillon d'aventures où il est question de poissons magiques, de diablotins taquins mais aussi de princesses à sauver. L'imaginaire slave est bel et bien au rendez-vous. » -
Conte du tsar Saltan, de son fils le glorieux et puissant prince Gvidon Saltanovitch et de la belle princesse Cygne
Alexandre Pouchkine
- Harpo & Editions
- 1 Avril 2011
- 9782913886766
Trois soeurs filent un soir près de la fenêtre et discutent. Chacune à son tour énonce ce qu'elle serait capable d'accomplir si elle devenait tsarine. C'est alors que le tsar fait son apparition et s'adresse à la troisième qui avait fait le voeu de lui donner un fils en pleine santé. Il lui donne l'ordre d'honorer sa promesse et prend ses deux soeurs comme servantes. Conte en vers.
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Le visiteur de marbre et autres oeuvres théâtrales
Alexandre Pouchkine
- Vendemiaire
- Compagnons De Voyage
- 22 Avril 2021
- 9782363583581
Des intrigues politiques de Boris Godounov à la rivalité de Mozart et Salieri, en passant par la tragédie du visiteur de marbre : l'oeuvre théâtrale de Pouchkine est d'une richesse sans équivalent. Si l'on connaît bien en France la prose de l'auteur d'Eugène Onéguine et de La Fille du capitaine, la traduction de ses vers est un exercice de taille auquel peu se sont confrontés.
Andreï Vieru, auteur, traducteur et musicien reconnu, s'attelle à la tâche. Dans cette nouvelle traduction, une attention particulière est portée à l'usage d'une langue française d'époque, celle dans laquelle Pouchkine, qui avait failli devenir un écrivain français, rédigeait luimême ses lettres.
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Deux récits en vers ayant en commun Pierre le Grand. Le premier relate la tragique histoire d'amour entre le vieux Mazépa, adversaire de Pierre le Grand à la bataille de Poltava en 1709, et sa filleule Matriona. Le second met en scène Eugène qui, en 1824, a perdu sa fiancée dans l'inondation de Saint-Pétersbourg et qui, fou de chagrin, ose interpeller la statue du tsar.
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«Ô Mozart, que tu n'es pas digne de toi-même?!?» jetait Salieri à la figure de Mozart, tout en s'enivrant de sa musique. «?Tu es divin, Mozart, et tu ne le sais pas?», ajoutait-il. «?Bien que divin, j'ai faim?», rétorquait Mozart, en pressentant déjà sa mort. Cette pièce d'Alexandre Pouchkine parut à Saint-Pétersbourg dans l'almanach Les Fleurs du Nord de l'année 1832. L'une des quatre Petites Tragédies du poète, elle s'inspirait de la légende du Requiem et de l'assassinat de Mozart par Salieri, jaloux du don et, plus encore, de la légèreté d'être de son confrère. Pouchkine y posait surtout la question du génie et du mal.
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Le conte du tsar Saltan et de la belle princesse-cygne
Alexandre Pouchkine
- Bnf Editions
- 8 Décembre 2022
- 9782226438096
L'histoire d'un tsar trompé par ses boyards, de son valeureux fils et d'une princesse-cygne que le jeune prince sauve d'une mort certaine L'histoire d'un tsar trompé par ses boyards, de son valeureux fils et d'une princesse-cygne que le jeune prince sauve d'une mort certaine
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La demoiselle paysanne - Alexandre Pouchkine
Alexandre Pouchkine
- Alidades
- 10 Novembre 2012
- 9782919376179
Dernier des « Récits de feu Ivan Petrovitch Belkine», La demoiselle paysanne, idylle villageoise reprenant les thèmes du déguisement et du quiproquo tels que les a légués le dix huitième siècle, donne à Pouchkine l'occasion de s'en amuser avec l'ironie qu'on lui connaît, mais surtout de les revisiter en une narration directe, débarrassée des minauderies tant en vogue à son époque, servie par une langue qui donnera assurément à la littérature russe le fondement sur lequel elle s'épanouira.
«Ceux de mes lecteurs qui n'ont pas vécu à la campagne ne peuvent se figurer comme ces demoiselles de chef-lieu de canton sont adorables ! Elles ont respiré l'air pur, elles ont grandi à l'ombre des pommiers de leurs vergers ; elles ne tirent pas des livres leur connaissance du monde et de la vie ; l'isolement, la liberté et la lecture épanouissent tôt en elles des sentiments et des élans ignorés de nos beautés frivoles. Un simple tintement de grelots est déjà pour elles une aventure, un voyage à la ville voisine marque une époque dans leur vie, le passage d'un visiteur leur laisse un souvenir durable, voire éternel. Certes, on aura beau jeu de rire de certaines de leurs bizarreries, mais les railleries d'un observateur superficiel ne leur enlèveront pas leurs qualités essentielles...» Édition bilingue russe/français. Traduction de Jacques Imbert. -
L'heure de la nuit
Alexandre Pouchkine
- La Difference
- Le Fleuve Et L'echo
- 1 Décembre 2016
- 9782729122911
Christiane Pighetti a traduit des poèmes de Chalamov, Essenine, Mandelstam et le poème fondateur de la nation russe écrit au XIIe siècle, La Geste du Prince Igor (collection Minos). Il était naturel qu'elle veuille se confronter au prince des poètes russes, Alexandre Pouchkine (1799-1837).
Après une vie de désordres, après les clubs révolutionnaires, les innombrables duels, les écrits séditieux et tout ce qui lui valut l'exil de ses jeunes années, c'est-à-dire, l'assignation à résidence hors de la capitale sous Alexandre 1er, Pouchkine, en dépit du succès foudroyant de ses premières oeuvres, lance le jour de son 29e anniversaire : « Vie, don inutile, don fortuit / à quoi bon m'es-tu donnée ». La conscience, le remords et la conviction intime de son iniquité, hantent l'oeuvre des dernières années. Il se sent poursuivi par un homme noir, menacé par un malheur qu'il ne peut ni éviter ni prévoir.
Lecteur assidu de la Bible à laquelle, en filigrane, il fait partout référence, il a la conviction que l'inspiration est authentique révélation et, jusqu'à la veille de sa mort, souligne le caractère sacré de l'oeuvre poétique.
Les poèmes publiés en version bilingue sont extraits de l'ensemble de son oeuvre et illustrés de croquis souvent plein d'humour de l'auteur.
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Loin de son oeuvre toute de mesure et d'élégance, découvrez la face cachée du plus grand écrivain russe à travers son journal secret, écrit jusqu'à la veille de son ultime duel. Une mise à nu vertigineuse où le poète nous dévoile les secrets de son âme obsédée par la chair et la mort.
La redécouverte d'un manuscrit mythique et contesté, recherché durant plus d'un siècle et sorti clandestinement d'URSS : le fameux journal secret de Pouchkine. Une confession érotique et tragique, où le grand écrivain russe nous dévoile les secrets de son âme obsédée par la chair et la mort. Une réflexion brillante sur la passion, la création et le destin.
À la veille d'un duel qu'il pressent fatal, Pouchkine se met à nu et livre la face cachée de l'homme que toute la Russie encense : sa soif d'écrire et de jouir, les difficultés de sa vie maritale, ses relations complexes avec le tsar Nicolas 1er. Et, surtout, son besoin de collectionner les femmes avec le stakhanovisme du laid savourant sa revanche, lui, le nain au visage de singe marié à une déesse.
Séducteur insatiable, amant de ses belles-soeurs aussi bien que de catins racolées dans les rues de Saint-Pétersbourg, organisateur de cérémonies orgiaques, sa vénération pour le sexe féminin lui fait multiplier les aventures comme un saint homme qui visiterait toutes les églises pour mieux prier Dieu.
Mais quand son épouse se prête aux jeux érotiques du tsar ou sourit aux oeillades du jeune et beau baron français d'Anthès, Pouchkine se laisse dévorer par la jalousie jusqu'à causer peu à peu sa propre perte... -
L'action de rousslan et ludmilla se déroule dans un cadre historique bien réel, autour de l'an 1000.
Le grand-duc de kiev, vladimir-soleil marie sa fille ludmilla au chevalier rousslan. foule joyeuse, attitude haineuse des prétendants éconduits. les jeunes mariés se retirent dans leurs appartements quand soudain c'est la catastrophe : au moment même oú le mariage va être consommé, ludmilla est enlevée par une force invisible. dès lors. les événements se précipitent et l'imagination va bon train, le tout se déroulant comme sous nos yeux tant ce texte musical est visuel.
Roman d'amour ? chanson de geste ? fantasmagorie ? qu'importe : rousslan et ses rivaux se lancent à la recherche de la belle. leur chevauchée à travers des paysages étranges et familiers mènera le seul rousslan jusqu'au repère du sorcier tchernomor, un nain sénile qui retient captive ludmilla. c'est au cours de cette chevauchée rêveuse que se rencontrent tous les protagonistes du drame dont le sage finnois qui veille sur rousslan, le jeune et beau khan khazare, ratmir, le rival assagi, la tête monstrueuse transformée en roc, la belle naïna devenue une sorcière lubrique.
Dans les scènes de batailles qui jalonnent ce récit se retrouvent des traces de vieilles chroniques mais aussi des événements qui relèvent de l'histoire de la russie, comme l'investissement de kiev par les nomades pétchénègues. tout au long, le jeune auteur mêle, en grande liberté, les éléments d'une réalité ancienne à ceux puisés dans les mythes russes, nordiques ou gaéliques et aussi ceux de la tradition orale, berçants et terrifiants, entendus dans l'enfance de la bouche de sa nourrice.
Il y a dans tout cela la fraîcheur du jeune âge, l'amour des mots et des sous, la soif de vivre et aussi un aspect ludique qui vient recouvrir, comme d'un voile léger, le désespoir face à l'inéluctable fin du destin.
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Le comte nouline suivi de le coq d'or - alexandre pouchkine
Alexandre Pouchkine
- Alidades
- 30 Octobre 2016
- 9782919376421
Le comte Nouline (à propos de quoi le poète doit affronter les accusations d'immoralité), c'est le tableau d'une Russie reculée, aristocratique et provinciale, déjà quelque peu bousculée dans ses certitudes et ses moeurs. L'ironie est qu'elle l'est ici par un gandin dont le nom porte à lui seul toute la nullité : noul en russe c'est le zéro.
Le coq d'or (1834). Dans ce second récit, à travers une leçon de bon sens (la parole donnée ne l'est jamais sans conséquence), Pouchkine invoque en fait la justice contre la toute puissante autocratie.
Édition bilingue. Traduction de Christian Mouze. -
La tempête de neige
Alexandre Pouchkine
- Alidades
- Petite Bibliotheque Russe
- 15 Janvier 2011
- 9782906266995
Je vous aime, dit-il, je vous aime passionnément... (Maria Gavrilovna rougit et baissa encore plus la tête). J'ai agi avec imprudence en me laissant aller à vous voir et à vous entendre tous les jours... (Maria Gavrilovna pensa à la première lettre de Saint6Preux). Maintenant il est trop tard pour résister à mon destin ; le souvenir que j'emporte de vous, votre charmante et incomparable personne, seront désormais le tourment et la joie de ma vie ; mais il me reste encore à accomplir un pénible devoir, vous confier un terrible secret qui dresse entre nous une barrière infranchissable...
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Impression en « gros caractères ». Extrait : Il y a quelques années vivait, dans une de ses propriétés, un vieux propriétaire russe nommé Cyrille Pétrovitch Troiékourof. Sa richesse, la célébrité de sa famille et ses relations lui donnaient une grande influence dans la province où se trouvait sa propriété. Gâté par tous ceux qui l'entouraient, il était habitué à donner pleine liberté à toute la fougue de son caractère emporté et à toutes les fantaisies de son esprit assez borné.
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Dans sa poésie Alexandre Pouchkine aborde des thèmes qui lui tiennent à coeur: la liberté, l'amour, la terre natale, la mort. Il insiste sur l'indispensable indépendance du poète, sur la nécessaire conquête de sa dignité.