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Eugène Onéguine , regardé comme le chef-d'oeuvre de Pouchkine, n'avait pas encore été traduit en notre langue. Il n'est pas écrit dans le goût du jour : on n'y trouve ni banqueroute, ni suicide, ni prostituées, ni adultères, mais une galerie de tableaux pris çà et là dans l'existence russe et servant de fond à une action très simple. Du reste, ce petit poème ou ce petit roman, comme on voudra, ne manque ni d'originalité, ni de verve satirique, ni de douce poésie, sans parler des faits et gestes d'Oné- guine « le mauvais sujet. » Je n'ajoute plus un mot, et je confie à ceux qui savent encore goûter les choses simples et vraies le soin de statuer sur le sort d'Onéguine.
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La dame de pique est-elle cette femme ensorcelante qui, dans le Paris de Richelieu, gagne de façon mystérieuse une fortune perdue au jeu? Est-elle cette figure maléfique, incarnation d'un destin contraire, qui précipite Hermann, jeune officier, dans la passion du jeu? Est-elle encore, au soir de sa mort, cette dame blanche, funeste apparition, livrant à Hermann le secret des cartes pour mieux lui faire payer son crime?Autant d'énigmes qui ont fait d'elle un personnage de légende, inspirant un opéra à Tchaïkovski, s'offrant André Gide et Prosper Mérimée pour traducteurs.
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Dans la Russie du XVIIIe siècle, où la rébellion menace, le jeune Griniov est contraint de rejoindre une misérable forteresse afin de devenir officier. Il tombe alors amoureux de Marie, la fille du capitaine. Pendant ce temps, l'armée de Pougatchev avance dangereusement.
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«Il y a quelques années vivait sur une de ses terres un seigneur russe de vieille famille, Cyrille Petrovitch Troïekourov. Sa richesse, sa haute naissance et ses relations lui donnaient un grand poids dans les provinces où se trouvaient ses biens. Les voisins étaient heureux de contenter ses moindres fantaisies ; son seul nom faisait trembler les fonctionnaires du chef-lieu. [...] Les occupations de tous les jours de Troïekourov consistaient en tournées à travers ses vastes propriétés, en festins prolongés et en facéties chaque jour inventées à cette occasion, et dont la victime était habituellement quelque nouvelle connaissance ; encore de vieux amis même n'y échappaient-ils pas toujours, à l'exception d'un seul, Andreï Gavrilovitch Doubrovski.»
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Le convive de pierre et autres scènes dramatiques
Alexandre Pouchkine
- Actes Sud
- 30 Septembre 2001
- 9782742700400
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La dame de pique ; Doubrovsky
Alexandre Pouchkine
- J'ai Lu
- Librio ; Litterature
- 17 Novembre 2003
- 9782290339558
La dame de pique est-elle cette femme ensorcelante qui, dans le Paris de Richelieu, regagne de façon mystérieuse une fortune perdue au jeu ? Est-elle cette figure maléfique, incarnation d'un destin contraire, qui précipite Hermann, un jeune officier, dans la passion du jeu ? Est-elle encore, au soir de sa mort, cette dame blanche, funeste apparition, livrant à Hermann le secret des cartes pour mieux lui faire payer son crime ?
Autant d'énigmes qui ont fait d'elle un personnage de légende. Tout comme Doubrovsky, étudiant au charme échevelé, qui, spolié de ses biens, devient brigand de grand chemin...
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En 1598, Boris Godounov devient tsar de toutes les Russies après la mort suspecte du prince héritier. A peine monté sur le trône, il élimine tous les grands seigneurs susceptibles de remettre en cause son autorité. Mais Grégoire Otrepiev réussit à s'enfuir et décide de fomenter un coup d'Etat... Rassemble toutes les pièces, scènes et dialogues de l'écrivain russe.
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La Dame de pique et autres nouvelles : Le Marchand de cercueils - La Demoiselle-paysanne - La Dame de pique
Alexandre Pouchkine
- Flammarion
- 27 Septembre 2007
- 9782081204706
On raconte à Saint-Pétersbourg que la vieille comtesse X*** possède un moyen infaillible de gagner au jeu. Pour s'enrichir et échapper à sa modeste condition, l'officier Hermann veut absolument connaître ce secret. Il est prêt à tout pour y parvenir : séduire la jeune Lisavéta Ivanovna, dame de compagnie de la comtesse, pénétrer de nuit dans le palais de la vieille dame, la menacer pour lui arracher l'aveu de son secret... Sa hardiesse sera-t-elle récompensée ? Le dossier propose des exercices pour repérer les éléments clés des différentes nouvelles et pour étudier l'écriture de Pouchkine, qui oscille entre réalisme et fantastique.
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La dame de pique - les nuits egyptiennes et autres nouvelles
Alexandre Pouchkine
- Flammarion
- Gf
- 2 Janvier 1997
- 9782080708861
J'ai agi imprudemment en me laissant aller à une douce habitude, à l'habitude de vous voir et de vous entendre... (Maria Gavrilovna se souvient de la première lettre de Saint-Preux).
«La Tempête de neige» Lise essaya de se dégager :
Mais laissez-moi donc, Monsieur : mais êtes-vous fou ?
- Akoulina, mon Akoulina ! répétait-il en lui baisant les mains...
«La Demoiselle paysanne» La source et le fleuve Des comédies souriantes de l'amour vrai au sombre héros de la Dame de pique, Pouchkine, le Mozart des lettres russes, se moque de ceux qui aiment d'après les livres, et pose les premiers accords de ce qui bientôt sera la grande prose littéraire russe. Tolstoï, Dostoïevski, Tchékhov sont les disciples et les continuateurs du petit-fils du Nègre de Pierre le Grand, émule en écho d'Henri Beyle : tout le roman russe est sorti des nouvelles de Pouchkine.
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Le conte du tsar Saltan et de la belle princesse-cygne
Alexandre Pouchkine
- Bnf Editions
- 8 Décembre 2022
- 9782226438096
L'histoire d'un tsar trompé par ses boyards, de son valeureux fils et d'une princesse-cygne que le jeune prince sauve d'une mort certaine L'histoire d'un tsar trompé par ses boyards, de son valeureux fils et d'une princesse-cygne que le jeune prince sauve d'une mort certaine
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La demoiselle paysanne - Alexandre Pouchkine
Alexandre Pouchkine
- Alidades
- 10 Novembre 2012
- 9782919376179
Dernier des « Récits de feu Ivan Petrovitch Belkine», La demoiselle paysanne, idylle villageoise reprenant les thèmes du déguisement et du quiproquo tels que les a légués le dix huitième siècle, donne à Pouchkine l'occasion de s'en amuser avec l'ironie qu'on lui connaît, mais surtout de les revisiter en une narration directe, débarrassée des minauderies tant en vogue à son époque, servie par une langue qui donnera assurément à la littérature russe le fondement sur lequel elle s'épanouira.
«Ceux de mes lecteurs qui n'ont pas vécu à la campagne ne peuvent se figurer comme ces demoiselles de chef-lieu de canton sont adorables ! Elles ont respiré l'air pur, elles ont grandi à l'ombre des pommiers de leurs vergers ; elles ne tirent pas des livres leur connaissance du monde et de la vie ; l'isolement, la liberté et la lecture épanouissent tôt en elles des sentiments et des élans ignorés de nos beautés frivoles. Un simple tintement de grelots est déjà pour elles une aventure, un voyage à la ville voisine marque une époque dans leur vie, le passage d'un visiteur leur laisse un souvenir durable, voire éternel. Certes, on aura beau jeu de rire de certaines de leurs bizarreries, mais les railleries d'un observateur superficiel ne leur enlèveront pas leurs qualités essentielles...» Édition bilingue russe/français. Traduction de Jacques Imbert. -
Le comte nouline suivi de le coq d'or - alexandre pouchkine
Alexandre Pouchkine
- Alidades
- 30 Octobre 2016
- 9782919376421
Le comte Nouline (à propos de quoi le poète doit affronter les accusations d'immoralité), c'est le tableau d'une Russie reculée, aristocratique et provinciale, déjà quelque peu bousculée dans ses certitudes et ses moeurs. L'ironie est qu'elle l'est ici par un gandin dont le nom porte à lui seul toute la nullité : noul en russe c'est le zéro.
Le coq d'or (1834). Dans ce second récit, à travers une leçon de bon sens (la parole donnée ne l'est jamais sans conséquence), Pouchkine invoque en fait la justice contre la toute puissante autocratie.
Édition bilingue. Traduction de Christian Mouze. -
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" Ô Mozart, que tu n'es pas digne de toi-même ! " jetait Salieri à la figure de Mozart, tout en s'enivrant de sa musique. " Tu es divin, Mozart, et tu ne le sais pas ", ajoutait-il. " Bien que divin, j'ai faim ", rétorquait Mozart, en pressentant déjà sa mort.
Cette pièce d'Alexandre Pouchkine parut à Saint-Pétersbourg dans l'almanach « Les Fleurs du Nord » de l'année 1832. L'une des quatre Petites Tragédies du poète, elle s'inspirait de la légende du Requiem et de l'assassinat de Mozart par Salieri, jaloux du don et, plus encore, de la légèreté d'être de son confrère. Pouchkine y posait surtout la question du génie. Le choix de l'alexandrin pour cette nouvelle traduction ouvre l'espace dans lequel la parole pouchkinienne retrouve sa transparence et sa luminosité.
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Dame de pique (la) - - fantastique, senior des 11/12ans
Alexandre Pouchkine
- Flammarion
- 1 Novembre 1998
- 9782081643789
A Saint-Pétersbourg, dans la Russie tsariste, l'officier Hermann, contrairement à ses camarades, ne joue jamais. Sauf un jour où il est certain de gagner ; mais rien n'est jamais sûr aux cartes...
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On raconte à Saint-Pétersbourg que la vieille comtesse X*** possède un moyen infaillible de gagner aux cartes.
Pour s'enrichir et échapper à sa modeste condition, l'officier Hermann veut absolument connaître ce moyen. Il est prêt à tout pour y parvenir : séduire la jeune Lisavéta Ivanovna, dame de compagnie de la comtesse, pénétrer dans le palais de nuit, menacer la comtesse pour lui arracher l'aveu de son secret...
Sa hardiesse sera-t-elle récompensée ?
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Le cavalier de bronze - Alexandre Pouchkine
Alexandre Pouchkine
- Alidades
- 1 Septembre 2010
- 9782906266933
Guy Imart propose une nouvelle traduction du plus célèbre des poèmes de Pouchkine. Le propos de Pouchkine est pour le coup rendu à la lettre, ce que n'importe quel traducteur peut faire armé de bons dictionnaires mais qui n'est rien sans que soient restitués le souffle de l'oeuvre, sa respiration profonde, son balancement, pourrait-on dire, naturel. Le lyrisme dramatique de Pouchkine est servi à merveille par la sorte de halètement syncopé qui caractérise la traduction de Guy Imart. La violence des flots qui se déchaînent devient sensible, le trouble puis la déroute des pensées d'Evguéni, sa fuite insensée devant le cavalier grandiose et terrible se matérialisent dans la rupture des vers, la succession des rejets, comme si la traduction retrouvait dans le russe le mouvement de la pensée créatrice de Pouchkine.
Édition bilingue russe/français. Traduction de Guy Imart. -
La Fille du capitaine : Un roman d'Alexandre Pouchkine
Alexandre Pouchkine
- Culturea
- 19 Février 2023
- 9791041911301
Texte intégral. Cet ouvrage s'inscrit dans un projet de sauvegarde et de valorisation de bibliothèques et de fonds patrimoniaux anciens, rares ou oubliés, appartenant à la littérature des 19e et 20e siècles. Une collection de grands classiques, d'écrits pour le théâtre, de poésie, mais aussi des livres d'histoire, de philosophie ou d'économie, de récits de voyage ou de livres pour la jeunesse à re-découvrir via les librairies en ligne ou à lire sur papier avec une mise en page étudiée pour favoriser le confort de lecture.
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Le 1er mai 1829, Pouchkine partit sans autorisation pour un voyage de près de 3000 kilomètres afin de rejoindre l'armée russe qui se préparait à occuper la partie Nord-Est de la Turquie et prendre la ville d'Arzroum (Erzerum). Le poète traversa en calèche, à cheval et à pied toute la Russie, puis le Caucase où vivaient des populations nouvellement conquises par les armées du Tsar, comme les Tchétchènes. C'est à cette époque que commença la longue et actuelle hostilité entre les multiples peuples du Caucase et les Russes.
Pouchkine décrit non seulement les paysages, mais les hommes et leurs moeurs. Sa curiosité est constamment en éveil, il est même d'une grande ouverture d'esprit pour l'aristocrate qu'il est, habitué aux fastes de Saint-Pétersbourg, et rien ne lui paraît plus sain que de passer la nuit sous une tente. Sa témérité est étonnante, car il n'hésite pas à voyager seul parmi une population souvent hostile. Pris d'une témérité insensée, il se précipitera même en première ligne au devant de la cavalerie turque lors d'une bataille, et il fallut le ramener de force à l'arrière. Ses descriptions de Tiflis (l'actuelle Tbilissi), de ses bains, de la population arménienne de Turquie (les Russes prennent alors possession de l'ancien royaume d'Arménie), d'Erzerum d'où il va devoir partir parce que la peste s'y est déclarée, sont passionnantes.
Quand, au bout de près de 2500 kilomètres, il passe enfin la frontière russe, quelle n'est pas sa déception de se rendre compte que ce n'est pas encore cette fois qu'il pourra se dire qu'il a quitté la Russie, même symboliquement, car les territoires dans lesquels il pénètre viennent d'être conquis par les armées russes. Il est probable que ce voyage n'avait pas seulement un but ethnographique, même si Pouchkine savait récolter des informations et des archives sur les lieux des événements historiques, comme il le fit quand il écrivait son histoire de Pougatchev. Ne voulait-il pas partir de la Russie, lui qui en avait une telle envie, mais qui ne reçut jamais l'autorisation de quitter le territoire de l'empire ? Pouchkine publia ce récit des années après son voyage, en 1836, dans le premier numéro de la nouvelle revue littéraire dont il était l'éditeur, le Sovremennik (le « Contemporain »), un an avant sa mort.
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