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Résumé C'est le plus célèbre roman en vers de la littérature russe publié en divers fragments. L'auteur y a mis sa vie - et sa mort. L'héroïne, Tatiana, tombe amoureuse d'un héros byronien, qui tue en duel le fiancé de la s?ur de celle-ci. Les années passent, Onéguine revient, découvre qu'il aime passionnément Tatiana, maintenant mariée ; elle l'aime aussi ; que choisira-t-elle? Un jeune homme qui s'ennuie, la plus touchante des jeunes filles, un poète de dix-sept ans, un vieux mari. C'est le roman des rencontres manquées, des amours perdues, des remords sanglants. Auteur Alexandre Pouchkine est un poète, dramaturge et romancier russe du 19ème siècle. Les nombreux poèmes qu'il écrit, en contradiction avec la politique du tsar, Alexandre 1er, lui valent six années d'exil. Il y découvre la campagne russe qui jouera un rôle essentiel dans la construction de son ?uvre. Il écrit sa célèbre tragédie "Boris Godounov", et son ?uvre phare, "Eugène Onéguine", un roman en vers qu'il achève en 1830. Pouchkine était déjà considéré au moment de sa mort comme le plus grand écrivain russe. Il bénéficie toujours d'une énorme popularité en Russie et ces quelques ?uvres font de lui le fondateur de la littérature russe moderne.
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«Lorsque le sommeil s'empara de lui, il rêva de cartes, de tapis vert, de liasses d'assignats et de monceaux de ducats. Il jouait carte sur carte ; il doublait avec assurance ; gagnait sans cesse, amoncelait des piles d'or et bourrait ses poches de billets.» La plus célèbre nouvelle de Pouchkine, un classique de la littérature russe.
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Jeune prince africain, Ibrahim Hannibal a été «offert» à Pierre le Grand par l'un de ses ambassadeurs. Jeune homme brillant et cultivé, Ibrahim a combattu dans l'armée française et séduit Paris avant de revenir en Russie et d'y devenir le favori du tsar. De la prestigieuse et étonnante histoire de son bisaïeul, Pouchkine tire en 1827 un court roman qui, bien qu'inachevé, est considéré comme l'un des chefs-d'oeuvre de l'écrivain russe.
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Merveilles de la littérature russe : la fille du capitaine ; la dame de pique
Alexandre Pouchkine
- Macha Publishing
- Merveilles De La Litterature Russe
- 2 Février 2019
- 9782374370477
La Dame de pique : Cette nouvelle, publiée en 1833, aborde deux des thèmes chers à l'auteur : le destin et la fortune.
Le jeune Hermann a une vision dans laquelle une vielle comtesse lui révèle une combinaison secrète de trois cartes permettant de gagner à tous les coups au jeu du Pharaon. Or, cette révélation a davantage des allures de pacte, puisqu'elle est accompagnée de conditions. Obnubilé par l'idée de devenir riche, il tombe dans le piège de la dépendance, s'obstinant à multiplier les parties de cartes. La chance lui sourit, jusqu'à ce que le destin prévale sur la fortune, le conduisant au malheur.
La Fille du capitaine : Ce roman historique, publié en 1836, narre la révolte de Pougatchev, au xviiie siècle. L'auteur s'étant richement documenté sur le sujet, le roman est particulièrement intéressant de par ses descriptions de la société et de la géographie de la Russie de cette époque.
Piotr Griniov a seize ans lorsque son père décide de l'envoyer au fort de Bélogorsk, pour qu'il y fasse son service. Aux prises avec les dangers de la petite ville - menacée par les troupes rebelles du chef cosaque Pougatchev, qui se fait passer pour l'empereur Pierre III -, il se contente néanmoins de sa nouvelle vie, en particulier grâce à Maria Ivanovna, la fille du capitaine. Le combat de Griniov avec les rebelles et son amour pour cette fille sont au centre de ce roman captivant, idéal pour qui voudrait découvrir la littérature russe.
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L'heure de la nuit
Alexandre Pouchkine
- La Difference
- Le Fleuve Et L'echo
- 1 Décembre 2016
- 9782729122911
Christiane Pighetti a traduit des poèmes de Chalamov, Essenine, Mandelstam et le poème fondateur de la nation russe écrit au XIIe siècle, La Geste du Prince Igor (collection Minos). Il était naturel qu'elle veuille se confronter au prince des poètes russes, Alexandre Pouchkine (1799-1837).
Après une vie de désordres, après les clubs révolutionnaires, les innombrables duels, les écrits séditieux et tout ce qui lui valut l'exil de ses jeunes années, c'est-à-dire, l'assignation à résidence hors de la capitale sous Alexandre 1er, Pouchkine, en dépit du succès foudroyant de ses premières oeuvres, lance le jour de son 29e anniversaire : « Vie, don inutile, don fortuit / à quoi bon m'es-tu donnée ». La conscience, le remords et la conviction intime de son iniquité, hantent l'oeuvre des dernières années. Il se sent poursuivi par un homme noir, menacé par un malheur qu'il ne peut ni éviter ni prévoir.
Lecteur assidu de la Bible à laquelle, en filigrane, il fait partout référence, il a la conviction que l'inspiration est authentique révélation et, jusqu'à la veille de sa mort, souligne le caractère sacré de l'oeuvre poétique.
Les poèmes publiés en version bilingue sont extraits de l'ensemble de son oeuvre et illustrés de croquis souvent plein d'humour de l'auteur.
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