Certains jours, Soprano l'oiseau ne sait plus qui il est, Junior le scarabée s'interroge sur sa place dans l'univers et Zaba ne distingue pas bien le rêve de la réalité. Quant à Bav l'escargot, la question qui le hante n'est pas non plus des moindres : « Quand est-ce qu'on mange ? ». Heureusement, Pierre la pierre aide tout ce petit monde à accoucher de ses idées et réponses.
Léon souhaite peindre ses amis les animaux mais ils refusent en prétextant d'horribles défauts physiques : le lion se trouve hirsute, l'éléphant n'aime pas sa trompe, le flamant pense qu'il ressemble à un tuyau d'arrosage, etc. Et lorsque le peintre réalise un portrait collectif, tout le monde se déclare plus beau en vrai.
Louis, coiffé d'une étrange cagoule, subit les moqueries des autres enfants. En visite au zoo, il décide d'enlever sa cagoule et révèle une crinière qui n'a rien à envier à celle du roi des animaux. Tous les animaux vont essayer la cagoule à tour de rôle. Cette expérience désopilante réconcilie Louis avec sa chevelure de feu.
Un album qui parle aux enfants de leurs complexes avec humour.
C'est l'histoire d'une rencontre qui n'aura jamais lieu ! Celle d'un poulpe et d'une araignée : ces 2 personnages vont s'appréhender, se défier, montrer ce dont ils sont capables. Chacun veut épater l'autre, lui montrer qui est le plus fort pour, au final, s'apprécier et devenir amis.
C'est un livre sans texte mais qui se passe aisément de mots, les illustrations étant assez explicites pour que le lecteur puisse lui-même raconter l'histoire. L'enfant pourra s'identifier à l'un des personnages suivant sa personnalité ; c'est une situation de confrontation que les enfants sont habitués à vivre lorsqu'ils rencontrent un nouveau camarade et qu'ils se jaugent en rivalisant d'inventivité.
Les petits curieux de nature : un cahier qui fourmille de jeux et grouille de fantaisie. Autocollants, coloriage, labyrinthe, intrus, mémo, découpage..., l'enfant joue avec les animaux, les insectes, les plantes et même la météo !
Grand, dégingandé, nonchalant, Pépito joue du bandjo. C'est un rêveur.
Upsilotte adore dessiner. Elle est toujours curieuse et enthousiaste.
Ces deux amis vivent des situations amusantes, loufoques, tendres avec des acteurs de la nature, aussi bien animaux, insectes, plantes que phénomènes naturels.
Une hirondelle et un bonhomme de neige attendent le printemps qui tarde. Pour le faire venir, Pépito dessine un soleil et un nuage mais, emporté par son élan, c'est un gros cumulus tout noir qui apparaît sous son crayon. Les problèmes commencent car ce nuage est très susceptible !
Les deux dernières pages, appelées La petite encyclopédie d'Upsilotte et Pépito, expliquent le réveil de la nature au printemps et le cycle de l'eau.
Grand, dégingandé, nonchalant, Pépito joue du bandjo. C'est un rêveur.
Upsilotte adore dessiner. Elle est toujours curieuse et enthousiaste.
Ces deux amis vivent des situations amusantes, loufoques, tendres avec des acteurs de la nature, aussi bien animaux, insectes, plantes que phénomènes naturels.
L'histoire : Les moustiques dessinés par Upsilotte agacent Pépito mais font le bonheur des grenouilles. Une maman grenouille ne participe pas à la fête. Son dernier têtard, Superman, ne veut pas grandir. Upsilotte et Pépito prennent les choses en main !
Les deux dernières pages, appelées La petite encyclopédie d'Upsilotte et Pépito, expliquent ce qu'est un amphibien, la différence entre une grenouille et un crapaud, la transformation du têtard.
Grand, dégingandé, nonchalant, Pépito joue du bandjo. C'est un rêveur.
Upsilotte est toujours curieuse et enthousiaste. Elle adore dessiner. Sous son crayon, elle donne vie à la nature. Parfois, elle met le bazar...
Ces deux amis vivent des situations amusantes, loufoques, tendres avec des acteurs de la nature, animaux, insectes, plantes, nuages...
L'histoire : C'est l'anniversaire d'Upsilotte.
La petite encyclopédie : la chaîne alimentaire.
Sara ignore tout de ses origines. Elle n'a jamais connu sa famille.
Sur son lit de mort, la vieille tante qui l'a élevée lui confie l'unique indice en sa possession : la moitié déchirée d'un bracelet de naissance. Un mot y est griffonné, c'est un nom de lieu : Sousbrouillard.
Sara, en quête de son passé, laisse aussitôt derrière elle sa vie parisienne sans histoire. Elle se rend à Sousbrouillard, village un peu hors du temps, construit autour d'un lac sombre et mystérieux.
Après une petite période d'adaptation dans ce « désert au milieu de nulle part », Sara va commencer à y faire des rencontres.
Les habitants de Sousbrouillard lui racontent leurs propres parcours, « cabossés et rocambolesques », hauts en couleurs, tristes et émouvants.
Sara les écoute avec tant d'empathie qu'elle finit par en oublier sa propre quête.
C'est quand elle ne s'y attendra plus que lui sera révélé le noeud secret de toutes ces histoires et qu'elle comprendra d'où elle vient...
Derrière son apparente réalité, Sousbrouillard glisse peu à peu vers le conte philosophique et la fable poétique. L'album met en lumière notre besoin de faire partie d'une histoire, ainsi que l'importance de ces rencontres qui changent parfois le cours d'une vie.
Belle Serena vient d'épouser George Pemberton, riche exploitant forestier. Leur projet? Exploiter jusqu'au dernier arpent le bois des Smoky Mountains. Ce sont les années 30, la crise a jeté sur les routes des hordes d'ouvriers et leurs familles. L'aubaine est trop bonne pour ces deux monstres, qui se vivent comme seuls au monde. Ils vont imposer leur loi, impitoyable, à des bu^cherons traités comme des esclaves. Cheveux courts, allure altière, la minérale Serena parcourt sans relâche ses terres à cheval, un aigle perché sur le bras. Elle inspire aux bu^cherons médusés autant la peur que la fascination. Et dans son sillage, le récit prend des allures de thriller sauvage et impitoyable... Serena consumera-t-elle les arbres et les hommes jusqu'au dernier?
Entre la fin du XIXe et le milieu du XXe siècle, femmes, pauvres, malades et fous n'ont aucun droit. Parmi eux, Augustin Lesage, Madge Gill, le Facteur Cheval, Aloïse, Marjan Gruzewski et Judith Scott sont enfermés dans une société qui les exclut. Ils vont pourtant transformer leur vie en destin fabuleux. Un jour, du fond de leur gouffre, une inspiration irrépressible leur ouvre une porte. Sans culture, sans formation artistique, ils entrent comme par magie dans un monde de créativité virtuose. Touchés par la grâce ou par un « super-pouvoir de l'esprit », ils nous ont laissé des oeuvres qui nous plongent dans un mystère infini.
Paris, 1848. Rachel a un don. Elle peut lire à travers le temps, les lieux, les gens et leurs histoires. Elle rêve de provoquer chez ses semblables une ouverture vers de nouveaux horizons. Sorcière pour les uns, phénomène de foire pour les autres, elle s'épuise et peine à trouver sa place. Un jour, elle disparaît sans laisser de traces...Bien des années plus tard, Liv, metteure en scène de théâtre, et Virginia, photographe, croisent le chemin de Rachel au coeur de leur démarche artistique. Rachel aurait-elle enfin trouvé sa voie par le biais d'une sororité créative défiant les lois de la raison?
L'héroïne de ce roman, Anne, 19 ans, se brise un petit os de la cheville joliment nommé astragale, en sautant le mur de la prison où elle est incarcérée pour braquage. Anne court toujours, se planque, se prostitue, qu'importe, elle a rencontré Julien, petit voyou qu'elle aime éperdument. À l'arrestation de Julien, Anne se prostitue, mettant de l'argent de côté pour vivre, un jour peut-être, heureuse, avec lui... + de 10 000 exemplaires du roman L'Astragale vendus à ce jour. D'après un roman d'Albertine Sarrazin Adaptation : Anne-Caroline Pandolfo Préface : Jean-Jacques Pauvert
Karen Blixen, le portrait d'une femme tour à tour sophistiquée, ambitieuse, magnétique, complexe, flamboyante, séductrice, fragile.
Isolé avec sa mère dans la forêt depuis toujours, Perceval ne connaît rien à la société des hommes. Il aime vivre en communion avec la nature jusqu'au jour où il croise un groupe de chevaliers de la Table Ronde. Fasciné par leurs armures resplendissantes, il ne rêve plus que d'une chose : rejoindre leur ordre et servir lui aussi le roi Arthur. Malgré sa naïveté et grâce à une détermination exemplaire, il y parviendra sans trop de difficultés, mais il devra relever un autre défi plus complexe à mener à bien : découvrir qui il est vraiment.
Le jour où grand Léon, doux géant un peu gauche, trouve une jolie jeune fille aux yeux de chat dans son lit, Mine, il se demande bien comment elle a pu arriver là. Il se demande bien aussi où est passée la petite chatte noire au regard brillant qu'il a recueillie et qui lui tient si joliment compagnie ? Une galerie de personnages hauts en couleurs accompagnent notre féline héroïne, tout le long de ce conte étrange et fantastique : Gaspar, l'ami de Léon, Pauvre Pierre, le « père » de Mine, le pianiste virtuose Morel, qui ne parle jamais mais qui joue comme un Dieu... Un premier roman graphique magistralement réussi, dans la lignée de Bastien Vivès.
Aksel est né dans une famille de riches propriétaires terriens dans le Danemark de la fin du XIXe siècle. La première partie du livre célèbre somptueusement la pureté magique de l'enfance à travers de superbes scènes uniquement visuelles, puis peu à peu Aksel grandissant, on bascule vers un récit plus réaliste où Aksel, poète sensible et vulnérable, ne peut affronter « le monde réel » tel qu'il est. Tout au long de son existence, il va croiser « des femmes phares », toutes bien plus fortes que lui:sa mère d'abord, la rêveuse Klara, puis la sublime Laurine, la très moderne Sofie, et enfin Rebekka, le grand amour qui l'envoûte et le paralyse. Amour impossible puisqu'il s'agit de la femme de son ami d'enfance, le sombre et talentueux Fredrik... Sous le regard fasciné de Søren Sidenius, un vieil ami de la famille, botaniste et collectionneur, Axel va finir par créer un monde intérieur imaginaire, et l'habiter, avec ceux qu'il a tant aimés. « Le roi des scarabées » raconte ce destin romanesque et profond, fragile comme un rêve. Une écriture inspirée et lumineuse, un scénario subtil, formidablement maîtrisé, Anne-Caroline Pandolfo nous emporte dans un récit romantique et virevoltant. Terkel Risbjerg développe un dessin somptueux, tantôt charbonneux, tantôt pur, qui fait irrémédiablement penser aux meilleurs:Blain, Vivès , Munoz et ... au peintre suédois, Carl Larsson.