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Hugo Poche
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Toutes les histoires du premier volume excitent tellement la curiosité, qu'en effet il est bien difficile de n'avoir pas envie de savoirle reste, surtout lorsqu'on peut dire ce que le sultan disait de sa femme en se levant ; JE LA FERAI TOUJOURS BIEN MOURIR DEMAIN.RÉSUMÉ Le sultan Schahriar, irrité de l'infidélité de sa sultane, prend le parti de faire étrangler, le matin, sa nouvelle épouse de la veille. La fille de son vizir parvient à faire cesser ces noces meurtrières, et à sauver sa propre vie en amusant le sultan par des contes.
LE LIVRE Le sultan Shahryar, en représailles à la suite de l'infidélité de son épouse, la condamne à mort et, afin d'être certain de ne plus être trompé, il décide de faire exécuter chaque matin la femme qu'il aura épousée la veille. Shéhérazade, la fille du grand vizir, se propose d'épouser le sultan. Aidée de sa soeur, elle raconte chaque nuit au sultan une histoire dont la suite est reportée au lendemain. Le sultan reporte l'exécution de jour en jour afin de connaître la suite du récit commencé la veille. Peu à peu, Shéhérazade gagne la confiance de son mari et finalement, au bout de mille et une nuits, il renonce à la faire exécuter. -
« Je la ferai toujours bien mourir demain"Le Royaume de Perse est menacé : le sultan Schahriar, bouleversé par l'infidélité de sa femme, prend chaque nuit une nouvelle épouse qu'il fait exécuter le lendemain. Pour apaiser le courroux du tyran Sheherazade éveille sa curiosité en lui racontant des récits fantastiques jusqu'au lever du jour, repoussant ainsi sa mort certaine.
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Je la ferai toujours bien mourir demain. Des contes enchanteurs qui excitent tellement la curiosité dès les premières lignes, qu'en effet il est bien difficile de n'avoir pas envie de savoir la suite...
Trompé par son épouse, le sultan Schahriar la condamne à mort puis décide de faire étrangler chaque matin la femme qu'il aura épousée la veille. Jusqu'au jour où Scheherazade, la fille du grand vizir, décide de mettre un terme à ces noces meurtrières en épousant le sultan. Chaque nuit, elle raconte à Schahriar une histoire qu'elle interrompt avant le lever du jour pour exciter sa curiosité et apaiser son courroux, tout en différant sa propre mort.
Dans ce troisième volume des Mille et Une Nuits, le lecteur se laisse captivé par les mésaventures d'Aladin aux multiples rebondissements, tremble pour la vie d'Ali Baba, et admire l'ingéniosité de l'esclave Morgiane. L'histoire connaîtra un dénouement heureux. Shéhérazade gagne la confiance du sultan qui reporte de jour en jour, l'exécution de la princesse pour connaître la suite de son récit. Finalement, au bout de mille et une nuits, il renonce à la faire exécuter. -
« Ma première victoire d'étape sur le Tour a changé la donne pour moi. J'espère que ce livre en fera de même pour le vélo. »Quand, à 20 ans et pendant les quinze ans qui suivent, on vous propose entre 100 000 et un demi million d'euros par an pour pédaler, vous passez vite d'une passion et d'un rêve à une réalité plus pragmatique. Votre sport devient votre travail. Votre équipe est une entreprise, plus un club. D'entrée, vous dites à celle qui va devenir votre femme : « Tu seras toujours ma priorité n°2, après le vélo ».
Peu à peu, se regarder dans la glace devient moins simple. Vous obéissez aux codes qui régissent le cyclisme pro : le mensonge, la tricherie, la corruption... Vous faites des expériences que vous regrettez. Alors vous prenez un peu de recul.
Et vous vous mettez à nu. Vous racontez votre quotidien, mais aussi celui des meilleurs cyclistes de la planète. Une réalité plus exaltante, mais aussi plus terrible, que toutes les fictions. -
10 000 EXEMPLAIRES VENDUS !« Ce livre sera pire qu'un plaquage, un tampon en pleine bourre. Je suis un rugbyman masqué, libre comme l'air. Un danger public. »Et voilà, la porte du vestiaire s'ouvre enfin. Entrez ! Et ne faites pas attention si tout le monde est à poil, on n'est pas pudiques, chez nous. Parce que le rugby se vit là, dans cette intimité que le Rugbyman masqué vous invite à partager.
Oubliez la façade, les apparences, les discours sur les pseudo-valeurs, les éléments de langage médiatiques pour conférences de presse aseptisées.
Bienvenue dans un monde qui s'enjaille et se déchire, qui s'échauffe et se fracasse, qui hurle et qui caresse, le monde des troisièmes mi-temps et des substances illicites, du mercurochrome et des fourchettes.
Parce qu'il faut rire de tout, et surtout du rugby, on va s'amuser un peu.
Parce que certains mecs exagèrent, on va rappeler deux ou trois vérités.
Et parce que la vie d'un rugbyman est tout sauf un long fleuve tranquille, on va aussi rêver, douter, tomber, se relever. Et raconter tout ce que les rugbymen se disent dans un vestiaire, lorsque le ruissellement de la douche délivre enfin de l'intensité du combat, lorsque les esprits s'apaisent mais que les corps saignent encore.