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Antony Beevor
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Russie : révolution et guerre civile (1917-1921)
Antony Beevor
- Le Livre de Poche
- Documents
- 14 Février 2024
- 9782253247654
La révolution russe fut parmi les événements les plus déterminants de l'histoire contemporaine. En 1917, quand la Russie impériale, archaïque, sapée par sa gestion calamiteuse de la guerre, se désagrège, les bolcheviks s'emparent du pouvoir. Le pays va alors connaître une guerre civile d'une férocité inimaginable. Dès 1918, Lénine décrète la Terreur rouge : tout aristocrate, tout bourgeois doit être exécuté en tant qu'ennemi de classe. De leur côté, les Blancs sont minés par les désaccords politiques et desservis par les exactions des cosaques. La propagande du camp victorieux a tout fait pour repeindre ce conflit sous la forme d'une geste héroïque. Grâce à l'exploitation d'archives inédites, il est restitué ici pour ce qu'il fut, à savoir, avec ses six à dix millions de morts, l'un des plus barbares de l'ère moderne.
Magistral. Le Monde.
La méthode Beevor fait merveille. Le Figaro Histoire.
Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Guillaume Marlière. -
D-Day et la bataille de Normandie
Antony Beevor
- Le Livre de Poche
- Ldp Litterature & Documents
- 16 Juin 2010
- 9782253133308
Le débarquement allié en Normandie, le 6 juin 1944, passe à juste titre pour un des grands tournants de la Seconde Guerre mondiale - à tel point que, dans l'esprit de nombreux Français, le reste de la guerre ne fut qu'une formalité. Or il n'en est rien. La bataille de Normandie fut longue, difficile, émaillée d'atrocités - et décisive. D-Day et la bataille de Normandie est le premier livre d'historical narrative à l'anglo-saxonne sur ces trois mois de guerre totale publié en France depuis Le Jour le plus long de Cornelius Ryan. Antony Beevor a pu consulter des archives récemment ouvertes aux États-Unis et en Angleterre, mais aussi des documents inédits allemands, français et canadiens, et retrouver des enregistrements originaux, dont les debriefings des soldats américains sur le terrain, nous offrant ainsi une reconstitution entièrement nouvelle et à rebours des mythes dominants.Un travail monumental, parcouru d'émotion et d'intelligence, servi par une écriture limpide. Christian Makarian, L'Express.
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Avec son magistral Stalingrad, rapidement devenu un best-seller mondial, Antony Beevor avait réussi à donner toute son ampleur tragique à l'une des plus terribles batailles de l'histoire de l'humanité.
Le récit de la chute de Berlin, qui consacre, en 1945, l'effondrement du Troisième Reich et du rêve hitlérien de domination mondiale, était, comme il le souligne dans sa préface, la suite logique de cet ouvrage, en même temps que l'évocation d'un drame humain à peu près sans précédent.
C'est, en effet, avec une terrible soif de vengeance, après les exactions commises par les Allemands en Russie, que l'Armée rouge atteint les frontières du Reich puis s'approche inexorablement de Berlin, devenu pour elle « l'antre de la bête fasciste ». Et cette vengeance sera effroyable : villes et villages anéantis, civils écrasés par les chenilles des chars, viols et meurtres en série, pillage systématique. Des centaines de milliers de femmes et d'enfants vont périr, souvent de faim ou de froid, et plus de sept millions de personnes s'enfuiront vers l'ouest pour tenter d'échapper à la mort et à la terreur.
Mais, en même temps qu'il est assailli par un ennemi à l'incroyable férocité - encore que quelques traits d'humanité viennent parfois éclairer une fresque digne de Goya -, le peuple allemand est souvent sacrifié par des gouvernants que l'orgueil et le fanatisme conduisent à l'aberration la plus meurtrière.
S'appuyant sur des archives souvent inédites, Antony Beevor nous livre non seulement un document historique capital, mais aussi un grand récit tragique et poignant, où l'on voit se déchaîner, portées à leur paroxysme, toutes les passions humaines, où l'orgueil rejoint la folie, la ruse côtoie la bêtise, l'héroïsme cohabite avec la peur, l'abnégation avec la cruauté. -
Stalingrad est sans doute le tournant capital de la Seconde Guerre mondiale. Sa chute aurait livré à Hitler les pétroles du Caucase. Et quel symbole que de prendre la ville qui portait le nom du « petit père des peuples »... De ces enjeux résulta un des plus gigantesques - et des plus atroces - affrontements militaires de l'Histoire. La Wehrmacht en ressortit brisée ; l'Armée rouge y forgea la légende d'un communisme libérateur.
Pour conter cette épopée, où l'héroïsme et la barbarie se côtoient à chaque page, l'historien britannique Antony Beevor a pu accéder, le premier, aux archives soviétiques, jalousement tenues secrètes jusqu'à la chute du régime, qu'il a confrontées aux archives allemandes ainsi qu'à d'innombrables témoignages.
Opérations militaires, relations entre les hauts gradés et le pouvoir politique, souffrances quotidiennes des combattants des deux bords et des civils : à tous les niveaux, ce récit rigoureux et inspiré apporte des révélations et des éclairages nouveaux. Il nous fait revivre au jour le jour une bataille où se joua le sort du monde. -
La seconde guerre mondiale
Antony Beevor
- Le Livre de Poche
- Ldp Litterature & Documents
- 19 Mars 2014
- 9782253176459
La Seconde Guerre mondiale est le plus grand conflit de l'histoire par ses destructions, le nombre de ses victimes et les bouleversements provoqués dans l'ordonnancement du monde et dans le paysage mental des êtres humains. Sur la base de documents anciens et d'archives inédites, Antony Beevor nous emmène de l'Atlantique Nord au Pacifique Sud, de la Sibérie à la Lybie, de la jungle birmane à Berlin bombardé, des lambris dorés des chancelleries à Leningrad assiégé, sans rien nous épargner des horreurs de la guerre, qu'il s'agisse des Einsatzgruppen sur le front Est, des prisonniers du goulag enrôlés dans des bataillons suicide, ou des exactions sadiques perpétrées par l'armée japonaise en Chine.Le grand talent de l'auteur est de combiner le détail qui fait sens à l'art de la synthèse qui met en perspective. Il réussit avec brio à rendre dans toute leur complexité les dimensions du conflit. Marc Semo, Libération.
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Plus de soixante-dix ans après le soulèvement militaire contre la République qui marqua le début de la guerre d'Espagne, Antony Beevor réussit un véritable tour de force en nous proposant,sur ce sujet encore brûlant, un livre capital.
La terreur rouge, la terreur blanche,les règlements de comptes dans chaque camp, les interventions étrangères, intéressées (les Soviétiques et les nazis) et désintéressées (les Brigades internationales) sont racontés ici avec rigueur et objectivité, à la lumière, notamment, d'archives soviétiques et allemandes récemment et brièvement rendues accessibles, et qu'a consultées l'auteur à Moscou.
Ce livre fondamental éclaire bien des zones d'ombre d'une guerre particulièrement cruelle qui devait sonner le glas des espérances et montrer le vrai visage des totalitarismes prêts à se déchaîner en Europe. -
Ardennes 1944, le va-tout d'Hitler
Antony Beevor
- Le Livre de Poche
- Ldp Litterature & Documents
- 11 Octobre 2017
- 9782253185994
16 décembre 1944. Hitler, convaincu qu'une contre-offensive éclair pourra faire éclater la coalition anglo-américaine, envoie des forces militaires de grande ampleur sur le front tenu par les Américains dans les Ardennes belges. Froid glacial, pénurie de vivres, massacres de prisonniers, cadavres piégés, représailles contre les civils, combats rapprochés, amputations à la chaîne, snipers, 5e colonne : jusqu'au 4 février 1945, les Ardennes sont le théâtre d'une guerre totale. 80 000 soldats américains hors de combat, autant du côté allemand. Hitler a joué son va-tout et perdu.
Une fois de plus, Antony Beevor excelle dans l'alternance des points de vue - politique, stratégique, tactique et individuel. Nourri d'une documentation impressionnante, il nous fait vivre cette lutte à mort avec l'empathie dépourvue de jugement moral qui est sa marque de fabrique. Le spécialiste de la Seconde Guerre mondiale rend à cette bataille sa juste place dans l'histoire terrible du conflit. -
Arnhem ; la dernière victoire allemande
Antony Beevor
- Le Livre De Poche
- 14 Octobre 2020
- 9782253257868
Septembre 1944. Market Garden, l'opération du maréchal Montgomery consistant à donner le coup de grâce à l'Allemagne nazie en capturant les ponts hollandais qui donnaient accès à la Ruhr se déploie. Le plan était audacieux. Mais avait-il la moindre chance de réussir ? Quand il s'avéra un échec, les conséquences furent effroyables, en particulier pour les Néerlandais, qui avaient tout fait pour aider leurs libérateurs éphémères. Quant à Arnhem et Nimègue, villes cartes postales au coeur de l'Europe civilisée, elles se retrouvèrent dévastées et jonchées des cadavres d'innombrables jeunes soldats qui avaient payé de leur vie l'hubris de leur haut commandement.
En puisant dans une documentation prodigieuse et parfaitement maîtrisée composée pour beaucoup d'archives hollandaises, britanniques, allemandes, américaines et polonaises inexploitées, Antony Beevor nous fait vivre la terrible réalité d'un combat, rendant hommage à des milliers de héros anonymes que l'Histoire a oubliés.
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The Normandy Landings that took place on D-Day involved by far the largest invasion fleet ever known. The scale of the undertaking was simply awesome. What followed them was some of the most cunning and ferocious fighting of the war, at times as savage as anything seen on the Eastern Front.
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A magisterial, single-volume history of the greatest conflict the world has ever known by our foremost military historian.
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Reconstructs the experiences of millions caught up in the nightmare of the Third Reich's final collapse, telling a terrible story of pride, stupidity, fanatacism, revenge and savagery, and also of endurance, self-sacrifice and survival against all odds.
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From the bestselling author of Stalingrad , Berlin and D-Day , Antony Beevor's Ardennes 1944: Hitler's Last Gamble tells the story of the German's ill-fated final stand. On 16 December, 1944, Hitler launched his 'last gamble' in the snow-covered forests and gorges of the Ardennes. He believed he could split the Allies by driving all the way to Antwerp, then force the Canadians and the British out of the war. Although his generals were doubtful of success, younger officers and NCOs were desperate to believe that their homes and families could be saved from the vengeful Red Army approaching from the east. Many were exultant at the prospect of striking back. The Ardennes offensive, with more than a million men involved, became the greatest battle of the war in western Europe. American troops, taken by surprise, found themselves fighting two panzer armies. Belgian civilians fled, justifiably afraid of German revenge. Panic spread even to Paris. While many American soldiers fled or surrendered, others held on heroically, creating breakwaters which slowed the German advance. The harsh winter conditions and the savagery of the battle became comparable to the eastern front. And after massacres by the Waffen-SS, even American generals approved when their men shot down surrendering Germans. The Ardennes was the battle which finally broke the back of the Wehrmacht.
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Novembre 1944. La guerre semble perdue pour une Allemagne prise en étau entre les Russes sur la Vistule et les Alliés à sa frontière occidentale. Hitler se convainc qu'une contre-offensive éclair en Belgique pourra faire éclater la coalition anglo-américaine et lui donner le temps de déployer ses armes secrètes.
Une concentration militaire de grande ampleur est organisée en secret dans les Ardennes belges, là où le front tenu par les Américains est le plus vulnérable. Le 16 décembre, sous la poussée inattendue et brutale de deux armées de panzers, le front est enfoncé sur cinquante kilomètres. Nombre d'unités américaines se replient en désordre, mais d'autres résistent héroïquement dans des températures qui tombent à moins 22 degrés avant Noël. Plusieurs unités américaines sont encerclées à Bastogne, alors que le mauvais temps empêche toute opération aérienne de ravitaillement ou de renfort.
Froid glacial, pénurie de vivres, massacres de prisonniers, cadavres piégés, représailles contre les civils, combats rapprochés, amputations à la chaîne, snipers, 5e colonne : du 16 décembre 1944 au 4 février 1945, les Ardennes sont le théâtre d'une guerre totale qui mettra hors de combat 80 000 soldats américains et sensiblement le même nombre du côté allemand.
En pure perte. Ayant sacrifié ses meilleures unités et ses dernières réserves contre une armée dont il a gravement sous-estimé les ressources matérielles et morales, Hitler a joué son va-tout et perdu.
Une fois de plus, Antony Beevor excelle à multiplier les points de vue. Son récit alterne en permanence entre les niveaux politique, stratégique, tactique et ndividuel. Nourri d'une documentation impressionnante, il nous fait vivre cette lutte à mort telle que la vécurent les états-majors, les officiers sur le terrain et les hommes du rang - des deux côtés -, sans oublier les civils, avec cette empathie dépourvue de jugement moral qui est sa marque de fabrique. Antony Beevor rend à cette bataille, l'une des plus féroces et des plus inutiles de la Seconde Guerre mondiale, sa juste place dans l'histoire terrible de ce conflit. -
The true story of a family torn apart by revolition and war, by the author of 'Stalingrad' and 'Berlin'.
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The bestselling author of STALINGRAD and BERLIN: THE DOWNFALL on the Spanish Civil War, drawing on masses of newly discovered material from the Spanish, Russian and German archives.
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Jeune et belle comédienne de théâtre, Olga Tchekhova, la nièce d'Anton Tchekhov, eut un destin aussi énigmatique qu'exceptionnel. En 1920, fuyant la misère et les persécutions communistes avec pour tout bagage une bague en diamant, elle quitte la Russie et se réfugie en Allemagne, où le prestige de son nom lui ouvre bien des portes. Un rôle de figurante dans un film muet aux studios de Babelsberg, puis un autre, et la voilà lancée. Actrice de talent, belle, distinguée, elle ne tarde pas à devenir une star du cinéma allemand des années trente, l'actrice préférée de Hitler. Elle est aussi pragmatique, et ce pragmatisme l'amène très vite à fréquenter les plus hauts dirigeants nazis, fascinés par le cinéma et les arts du spectacle en général.
Son frère Lev Knipper, un ancien officier russe blanc, l'a accompagnée en Allemagne, mais lors d'un séjour en URSS en 1921, le piège s'est refermé sur lui. Forcé de devenir un informateur de la Guépéou, il a été renvoyé en Allemagne par ses agents traitants avec pour mission d'être l'oeil de Moscou auprès de la communauté russe émigrée de Berlin. Quant à sa soeur, la belle Olga, ses hautes relations en feront plus tard une recrue de choix. En pleine Seconde Guerre mondiale, les services secrets russes échafaudent même des plans pour faire de la soeur et du frère des kamikazes au coeur du régime nazi.
Le Mystère Olga Tchekhova est la saga dramatique d'une famille prise entre les deux feux totalitaires du XXe siècle, pour qui jouer la comédie n'est pas seulement une activité professionnelle, mais aussi une question de survie. Courage et lâcheté, idéalisme et opportunisme s'affrontent constamment dans ce récit, souvent dans le coeur même des protagonistes.
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The Sunday Times #1 Bestseller The great airborne battle for the bridges in 1944 by Britain's Number One bestselling historian and author of the classic Stalingrad ' Our greatest chronicler of the Second World War . . . his fans will love it ' - Robert Fox, Evening Standard 'The eye for telling detail which we have come to expect from Antony Beevor. . . this time, though, he turns his brilliance as a military historian to a subject not just of defeat, but dunderhead stupidity' Daily Mail On 17 September 1944, General Kurt Student, the founder of Nazi Germany's parachute forces, heard the growing roar of aeroplane engines. He went out on to his balcony above the flat landscape of southern Holland to watch the air armada of Dakotas and gliders carrying the British 1st Airborne and the American 101st and 82nd Airborne divisions. He gazed up in envy at this massive demonstration of paratroop power. Operation Market Garden, the plan to end the war by capturing the bridges leading to the Lower Rhine and beyond, was a bold concept: the Americans thought it unusually bold for Field Marshal Montgomery. But could it ever have worked? The cost of failure was horrendous, above all for the Dutch, who risked everything to help. German reprisals were pitiless and cruel, and lasted until the end of the war. The British fascination with heroic failure has clouded the story of Arnhem in myths. Antony Beevor, using often overlooked sources from Dutch, British, American, Polish and German archives, has reconstructed the terrible reality of the fighting, which General Student himself called 'The Last German Victory'. Yet this book, written in Beevor's inimitable and gripping narrative style, is about much more than a single, dramatic battle. It looks into the very heart of war. ' In Beevor's hands, Arnhem becomes a study of national character ' - Ben Macintyre, The Times ' Superb book, tirelessly researched and beautifully written ' - Saul David, Daily Telegraph ' Complete mastery of both the story and the sources ' - Keith Lowe, Literary Review ' Another masterwork from the most feted military historian of our time ' - Jay Elwes, Prospect Magazine ' The analysis he has produced of the disaster is forensic ' - Giles Milton, Sunday Times ' He is a master of his craft . . . we have here a definitive account ' - Piers Paul Read, The Tablet
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@2@@20@Acclaimed historian and best-selling author Antony Beevor vividly brings to life the epic struggles that took place in Second World War Crete - reissued with a new introduction.@21@@3@@2@@20@'The best book we have got on Crete' @18@Observer@19@@21@@3@@2@The Germans expected their airborne attack on Crete in 1941 - a unique event in the history of warfare - to be a textbook victory based on tactical surprise. They had no idea that the British, using Ultra intercepts, knew their plans and had laid a carefully-planned trap. It should have been the first German defeat of the war, but a fatal misunderstanding turned the battle round. Nor did the conflict end there. Ferocious Cretan freedom fighters mounted a heroic resistance, aided by a dramatic cast of British officers from Special Operations Executive.@3@
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Paris libéré, Paris retrouvé : 1944-1949
Antony Beevor, Artemis Cooper
- Calmann-Lévy
- Sciences Humaines
- 21 Août 2024
- 9782702188309
80e ANNIVERSAIRE DE LA LIBÉRATION
Cette histoire s'ouvre dans l'enthousiasme et le sang versé lors de la libération de Paris, à la fin du mois d'août 1944. Elle mêle les attentes des premiers « beaux jours » après quatre années terribles, la fureur des règlements de comptes annonçant l'épuration, les arrangements pour survivre au quotidien dans une économie dévastée et les débuts d'une âpre lutte idéologique pour le pouvoir entre Français, sous l'influence permanente quand ce n'est pas l'ingérence des Britanniques, des Américains et des Soviétiques via le PCF.
L'économie renaît de ses cendres grâce au plan Marshall, et la Rive gauche devient la Mecque d'une nouvelle génération d'intellectuels de gauche, tandis que les milieux conservateurs renouent avec la vie mondaine, ses salons, ses bals, ses dîners diplomatiques.
Avec leur flair pour dénicher des archives inédites et faire parler les témoins-clés, Antony Beevor et son épouse Artemis Cooper nous font vivre ces années compliquées et grisantes à l'aide d'un luxe d'anecdotes qui surprendront plus d'un lecteur français. Le tout avec un recul très « british » qui apporte une fraîcheur inédite à cet exceptionnel travail d'historien. -
Carnets de guerre : 1941-1945
Antony Beevor, Vassili Grossman
- Calmann-Levy
- 22 Février 2023
- 9782702188323
Ici, le courage est contagieux, comme peut l'être ailleurs la lâcheté. On vit d'une heure à l'autre, d'une minute à l'autre, parole d'honneur. On attend l'aube.Correspondant de guerre pour l'Armée rouge pendant la Seconde Guerre mondiale, Vassili Grossman est sur tous les fronts : Stalingrad, la libération des camps de la mort en Pologne, la chute de Berlin. Dans le même temps, il relate dans ses carnets ce qu'il appelle « la vérité impitoyable de la guerre » au travers d'anecdotes et de comportements saisis sur le vif, avec toujours un regard empreint d'humanité.Ses écrits personnels, par leur liberté de ton, diffèrent sensiblement de ses dépêches officielles et auraient pu avoir de lourdes conséquences pour lui s'ils avaient été découverts. Antony Beevor nous en propose des extraits accompagnés d'indications précieuses sur le déroulement du conflit, le contexte politique et le cheminement personnel de Vassili Grossman, ex-communiste désenchanté, juif athée et, avant tout, immense écrivain.
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Paris libéré ; 1944-1949
Antony Beevor, Artemis Cooper
- Tempus/Perrin
- Tempus
- 21 Août 2014
- 9782262047566
L'histoire de la libération de Paris s'ouvre dans l'enthousiasme, et le sang. Elle est faite de l'espoir des premiers "beaux jours" après cinq années terribles, de la fureur des règlements de comptes, des arrangements quotidiens pour survivre, des débuts de la lutte idéologique et politique entre Français, Britanniques, Américains et Soviétiques, via le PCF. Pourtant Paris connaît une sorte "d'été indien" : la capitale redevient le centre d'une vie intellectuelle et artistique mondiale, le point de ralliement d'une nouvelle génération, tandis que les salons, la vie mondaine et les dîners diplomatiques déploient leurs fastes.
S'appuyant sur des archives neuves, touchant à la vie des plus humbles comme aux décisions des dirigeants, Antony Beevor, brillamment secondé par Artemis Cooper, brosse la fresque de ce quinquennat hors du commun.
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