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Fabienne Clolus Pierre
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Paris Gare de Lyon, Victoria, Parisienne accaparée par son travail, cherche sa place dans ce TGV qui la conduira vers le sud de la France. Elle part retrouver sa soeur Marie et sa nièce Joséphine.
À l'idée de vivre ces retrouvailles avec sa famille, Victoria est impatiente de fouler le quai de la gare de Narbonne.
Impatiente aussi de s'éloigner enfin, des contraintes de la capitale.
Fabienne Clolus-Pierre décrit un univers sans concession, où le hasard ne laisse aucun répi aux acteurs de ce roman...
Qu'importe le but, seul compte le chemin ! -
«Dans les yeux de Wolfie», une comédie alerte, parfois grin-çante où l'autrice aborde avec humour un sujet bien d'actualité : le monde virtuel, qui a pris tant de place dans nos vies, facilite-t-il le bonheur ou l'exclut-il ?
Le personnage central de ce livre, Wolfie, n'est autre qu'un matou madré à l'ironie mordante, témoin de cette histoire, jouant, à sa manière, le rôle du choeur antique, tantôt drôle mais jamais magnanime...
Chat érudit et cultivé grâce à son maître, il observe la vie de son quartier avec condescendance, spectateur et acteur de cette folle journée. -
En 2018, Lleget, petit village de la Costa Brava, sera la destination des prochaines vacances estivales de la famille. Mercedes n'a pas fait ce choix au hasard. Lleget est inscrit sur sa carte d'identité à la mention lieu de naissance.
C'est pour elle un lieu inconnu, occulté et habillé de silence par ses parents.
Si le charme mystérieux de Lleget séduit le simple voyageur, il hante celui qui s'y attarde ! Mais le désir de connaître la vérité attire Mercedes là où tout a commencé... Elle ignore encore qu'elle y sera confrontée à l'Histoire et à la folie des hommes.
Avec « Carnet secret » Fabienne Clolus-Pierre construit, dans une Méditerranée estivale, un passionnant récit qui nous entraîne dans le labyrinthe de la conscience humaine, où seules survivent les âmes fortes. -
Chaque premier dimanche de juin, dans la belle maison d'Angèle, famille et amis se réunissent pour un rituel repas de famille.
Qu'importe le menu, toujours le même, l'intérêt est ailleurs !
Angèle l'hôte des lieux, Marguerite, Antoine et toute la famille apprécient ces retrouvailles. Pourtant un détail, une simple attitude, une réflexion anodine laissent paraître parfois une réalité bien plus complexe accompagnée de fêlures et de non-dits.
Fabienne Clolus-Pierre, avec un humour caustique et tendresse, peint une saga familiale dont les acteurs ne sortent pas indemnes.
Chacun d'eux renvoie le lecteur vers un vécu si proche de lui... -
Bretagne. Été 1966 : « Un ciel sans nuage. Sept enfants sur la plage. L'été balbutiait. Les Zygreks étaient nés.»
Un courrier égaré entre les pages d'un ouvrage chiné dans une cabane à livres annoncera à Julia le début de l'aventure. Découvrira-t-elle par qui et pour qui ce tendre billet fut écrit, il y a cinquante ans ? Les mots griffés sur cette carte postale jaunie réveilleront le passé et les secrets d'une bande d'enfants, devenus adolescents.
Entre amitiés et amours, souvent espoirs et tourments se côtoient...
Une jeune danseuse curieuse. Une grand-mère rock'n roll. Un volleyeur pas très doué. Un musicien égoïste. Une directrice d'EHPAD inénarrable. Autant de personnages subtils et nuancés construits et racontés par Fabienne Clolus-Pierre pour une intrigue et une comédie de moeurs dont seule, elle a le secret ! -
Voyager pourquoi ? Curiosité, envie de changer d'air, fuite en avant ou simplement partir à la découverte du hasard.
Claire va à Séville pour assouvir sa soif de flamenco, danser, s'imprégner de l'atmosphère sévillane. Elle désire y vivre sa passion pour l'Andalousie, accomplir un rite initiatique au rythme de l'âme andalouse.
Pierre s'envole pour Séville avec son ego. Pour ce photographe d'art, le monde est son miroir. L'exposition de son oeuvre dans la Séville millénaire est l'expression de sa reconnaissance.
Claire et Pierre, deux voyageurs anonymes exposés à l'attraction du hasard, acteurs d'une comédie de moeurs où la vie s'amuse des apparences...
«Un aller pour Séville» reflète nos instincts, nos pulsions, nos passions à l'image de notre quotidien où tout s'affiche, se dévoile sans fard. -
Une bague, bijou-confident des femmes qui s'en parent, valse de vie
en vie. Ses diamants deviennent les témoins de mémoires intimes.
Une bague qui voit défiler un siècle de destinées. Une bague
qui nous raconte, de Marie jusqu'à Mona, les abîmes et les espoirs de
femmes, aux souvenirs discrets préservés par cette précieuse gardienne.
Une bague d'un siècle, témoin d'une comédie de moeurs où
l'offrande appelle l'émotion, l'amour, les serments et la convoitise.