Au Havre, Gildas Le Flohic, ancien de la marine marchande devenu commandant de police, se voit confier une étrange affaire : Luc Dallet, accro aux jeux et aux femmes, est retrouvé égorgé dans son salon.
La police ne relève nulle trace d'effraction. Et aucune des nombreuses oeuvres d'art que possédait la victime n'a disparu. La découverte d'un carnet sur les lieux du crime interroge le commandant. Il s'agit d'un livret professionnel maritime. Muni de cet indice, Gildas Le Flohic part à la recherche de son propriétaire, Alain Martroger.
C'est le début d'un extraordinaire polar entre Normandie et Bretagne où se croisent vieux briscards du long cours, silhouettes de paquebots, de cargos et de femmes. Ce roman lesté de rebondissements est aussi un cri d'amour aux acteurs du monde de la mer : le noir s'y superpose au bleu de l'océan.
Jean Bulot est l'une des grandes figures de la mer en France. Scandalisé par le comportement du capitaine italien du Costa Concordia en 2012 lors de son incroyable naufrage, il nous fait vivre ici les dernières heurs du paquebot.
"Puissent donc les rescapés, les proches et les familles des victimes trouver dans ce récit une réponse à leurs interrogations sur ce naufrage" Jean Bulot.
Jean Bulot est l'une des grandes figures de la mer en France. Après avoir été officier de Marine marchande et voyagé au long cours, il a pris le commandement des remorqueurs de haute nier Abeille Languedoc et Abeille Flandre. Il a publié un premier volume de ses mémoires en 2006. Ce livre de texte " Capitaine Tempête " (Editions des Equateurs) est épuisé. Il nous livre une nouvelle version au texte allégé, mais illustré de 80 photos inédites.
Il y retrace surtout son engagement dans le remorquage de haute mer, ce métier si particulier, exigeant une grande habileté et une résistance à toute épreuve.
Mondiale, se déroulent sur une petite île bretonne. Pour satisfaire la demande des descendants d'une vieille famille de l'île immigrée aux USA, un siècle auparavant, la municipalité décide de démolir un petit monument communal pour en ériger un autre. Mais la représentation de ce nouveau projet, affi - chée en place publique, architecturalement différent et de plus excentrique, va déclencher un mouvement de protestation et semer la zizanie sur l'île. Les pour et les contre, les cléricaux et les anticléricaux se déchaînent jusqu'à user de procédés déloyaux. Après bien des péripéties, la venue d'un Grand homme français sera, involontairement d'ailleurs, à l'origine de la réconciliation insulaire.
Dans ce roman pudique et drôle, jean bulot nous raconte le paradis de l'enfance dans une île bretonne. il est notamment l'auteur aux editions des equateurs de capitaine tempête et de " erika " : plus jamais ça !
C'est la fin de la saison sur une petite île bretonne.
Rien ne devrait troubler la vie insulaire où les drames se jouent entre les trois bistrots du village, le triangle des bitures, et où l'on meurt de sa belle mort dans son lit, à l'exception des marins en mer. Et pourtant un vent de folie meurtrière s'abat sur cette île bercée par le bonheur de vivre. Un, deux, trois puis quatre cadavres, hommes et femmes qui formaient la même bande de copains chavirée par les larmes de l'existence.
Et toujours la même mise en scène : à côté de la victime, une poupée noire en chiffon, habillée à l'africaine d'un boubou et d'un turban multicolores. Quand les rituels africains rencontrent les traditions bretonnes et les légendes de marins, l'intrigue est pour le moins relevée par le grand large et les embruns de la vie. Dans ce roman noir et maritime, Jean Bulot se livre à une remarquable exploration des moeurs insulaires où la promiscuité, les haines recuites et la vengeance sont une invitation au meurtre.
Cet album, où le commandant Bulot narre, sans romantisme ni fioritures, quelques missions mémorables des "Abeille", est également celui, d'une beauté à frémir, d'une phalange de photographes et dessinateurs maritimes fameux. Philip Plisson, Bernard Rubinstein, Jacques Carney, Mario Fourmy, Luc Girard et Dominique Pipat, Jean-Pierre Arcile, Alain Coste et Alain Coz se font ici les chroniqueurs admiratifs d'un "grand métier".
Jean Bulot est l'une des grandes figures de la mer en France. Après avoir été officier de Marine marchande et voyagé au long cours, il a pris le commandement des remorqueurs de haute mer Abeille Languedoc et Abeille Flandre. Né en 1939 sur l'île d'Arz, l'île des Capitaines, dans le Morbihan, fils d'un commandant, il a vécu pour la mer et sur la mer. Ses Mémoires très attendus retracent à la fois son enfance bretonne, ses débuts comme pilotin, lieutenant le long des côtes d'Afrique et d'Amérique puis son engagement dans le remorquage de haute mer, ce métier si particulier exigeant de grandes capacités manoeuvrières et un dévouement humain extrême. Scandalisé par le drame de l'Amoco-Cadiz, Jean Bulot participera au sauvetage de plusieurs pétroliers et contribuera à la sauvegarde du littoral français. Ami d'Olivier de Kersauson, auquel il porta secours, Jean Bulot est un merveilleux conteur du monde maritime. Bretagne, haute mer et sauvetage sont les trois sillons de ces Mémoires, écrits avec le sens de l'anecdote, du trait et de l'humour.
En décembre 1999, le naufrage du pétrolier Erika affrété par la compagnie Total provoque une marée noire sur les côtes bretonnes.
Après le Tanio et l'Amoco-Cadiz, un nouveau drame de la mer entraîne un désastre écologique. L'Erika était-il en mesure de naviguer ? Le commandant du navire a-t-il pris toutes ses responsabilités ? Dans quelles conditions l'Erika s'est-il d'intervention en procédures pour tenter de sauver le pétrolier ? Dans Erika : plus jamais ça ! Jean Bulot, ancien commandant des remorqueurs Abeille Languedoc et Abeille Flandre qui a consacré sa vie au sauvetage et à la lutte contre les marées noires, raconte l'implacable mécanique du naufrage de l'Erika.
Il propose également des pistes de réflexion pour améliorer la sécurité en mer. Erika : plus jamais ça ! est un document passionnant qui se lit comme un roman noir.
Me faire traiter de « dischentil » en pleine rue par une parisienne installée sur notre île depuis à peine dix ans!!! Moi qui suis « né natif » avec en prime le fameux « nombril à Sophie », avouez qu'il y a de quoi se fâcher tout rouge! Une telle insulte méritait une mise au point. Grâce donc à ce petit livre sur le parler de nos îles si riches en expressions pittoresques, désormais, non seulement les générations futures auront la possibilité de sauve-garder ce patrimoine jusqu'alors transmis par tradition orale, mais encore, les futurs îliens, parisiens ou pas, sont invités à le consulter pour ainsi éviter un tel incident diplomatique! Non mais!
On entend plein d'injonctions, parfois contradictoires, sur l'alimentation équilibrée :
Ne pas manger trop gras, trop salé, trop sucré, consommer 5 fruits et légumes et boire 1.5 L d'eau par jour... Mais comment peut-on manger sainement sans se priver des aliments que l'on aime ?
Sylvie Bulot nous apprend ce que signifie « bien manger » : l'équilibre alimentaire ne se fait pas sur un seul repas. Manger est un acte vital, de bien-être, de plaisir, un acte social et parfois de compensation.
Ce livre rassure et donne des conseils simples aux adolescents pour se régaler sans culpabilité.
Est-ce que je peux manger du chocolat et boire des sodas ? Je n'aime pas les légumes verts, comment faire ? Comment faire si je n'aime pas les plats de la cantine ?
Autant de questions auxquelles l'autrice répond avec bienveillance pour aider les collégiens à être en forme.
Le livre pour prendre en douceur le pouvoir sur son assiette et sur sa vie d'ado
Me faire traiter de « dischentil » en pleine rue par une parisienne installée sur notre île depuis à peine dix ans!!! Moi qui suis « né natif » avec en prime le fameux « nombril à Sophie », avouez qu'il y a de quoi se fâcher tout rouge! Une telle insulte méritait une mise au point. Grâce donc à ce petit livre sur le parler de nos îles si riches en expressions pittoresques, désormais, non seulement les générations futures auront la possibilité de sauve-garder ce patrimoine jusqu'alors transmis par tradition orale, mais encore, les futurs îliens, parisiens ou pas, sont invités à le consulter pour ainsi éviter un tel incident diplomatique! Non mais!
Jean Bulot se lance dans un genre nouveau pour lui, le roman, non sans une bonne dose d'humour. Ces événements, à l'issue de la Seconde Guerre mondiale, se déroulent sur une petite île bretonne. Pour satisfaire la demande des descendants d'une vieille famille de l'île immigrée aux USA un siècle auparavant, la municipalité décide de démolir un petit monument communal pour en ériger un autre. Mais la représentation de ce nouveau projet, affichée en place publique, arhcitecturalement différent et de plus excentrique, va déclencher un mouvement de protestation et semer la zizanie sur l'île. Les pour et les contre, les cléricaux et les anticléricaux se déchaînent jusqu'à user de procédés déloyaux. Après bien des péripéties, la venue d'un Grand homme français sera, involontairement d'ailleurs, à l'origine de la réconciliation insulaire.
Jean-Baptiste Marcellesi est l'un des "pères fondateurs" de la sociolinguistique en France ; ses travaux, sa réflexion, son oeuvre se sont déployés sur deux thèmes clés : l'épistémologie de la sociolinguistique (méthodes, concepts, théories, histoire) et les langues régionales, notamment la langue corse.Ces thèmes s'interpénètrent tant dans le parcours du chercheur que dans l'élaboration de sa réflexion, par ce va-et-vient permanent entre terrain, théorisation et enjeux sociaux qui caractérise une approche réellement sociolinguistique.
"La sociolinguistique urbaine se constitue en France sur la problématisation de l'urbanité et de l'urbanisation linguistique ; si le débat reste entier sur l'opportunité de considérer, dans cette optique, la large part est faite aux mobilités spatiale et linguistique comme valeur sociale déterminante des usages des espaces langagiers, il semble toujours nécessaire de confronter encore et toujours non seulement les travaux de terrains mais encore les théorisations propres à ce champ..."
Le pays d'Azay-le-Rideau, situé au sud-ouest de Tours et traversé par la départementale 751 qui relie Tours à Chinon, bénéficie d'un patrimoine riche et varié de par son histoire et sa situation géographique.
Situé en bordure de Loire, traversé par l'Indre, ce pays qui comprend la forêt domaniale de Chinon regroupe les 12 communes du canton d'Azay-le-Rideau, auxquelles les auteurs ont souhaité ajouter celle de Pont-de-Ruan.
Les images du début du XXe siècle contenues dans cet ouvrage témoignent à merveille de l'attachement de la population aux particularités de son terroir : la pêche de Loire à La Chapelle-aux-Naux et à Bréhémont, ou la vannerie dans les troglos de Villaines-les-Rochers... Elles montrent également combien la vie a changé depuis le début du siècle dernier où les Ridellois ne connaissaient pas l'invasion annuelle des 300 000 touristes venant visiter le célèbre château Renaissance.
La question des identités occupe une place centrale dans les recherches en Sciences Humaines et Sociales : la construction identitaire jalonne les discours dans le champ politique européen et dans la mise en mots de l'altérité. Les migrations nous invitent à penser les identités comme étant plurielles, variées et dynamiques, à l'instar de ce que sont toutes les langues. C'est pourquoi il apparaît capital d'interroger les conditions et les modalités d'action qui permettraient de faire reconnaître ces migrations comme un catalyseur dans le processus de construction européenne.
Problématiser le terrain urbain, c'est rencontrer une crise sociale et mettre l'accent sur les inégalités. Dans ce volume, sociolinguistique urbaine et géographie spaciale se donnent pour objectif commun - autour de la vaste problématique du marquage de l'espace, de l'affichage public des langues et des discours - de mettre en évidence les rapports de pouvoir, les hiérarchisations sociales tels qu'ils se jouent dans les dimensions spatiale et langagière.