L'identification des champignons n'est pas toujours chose aisée. De nombreux champignons comestibles peuvent être confondus avec des espèces toxiques et de nombreux agents extérieurs peuvent influencer leur éventuelle toxicité : la durée entre le moment de cueillette et celui de la consommation, la pollution de l'environnement ou encore la méthode de conservation.
À l'aide de fiches descriptives et de photographies détaillées, cet ouvrage permet d'identifier 200 espèces de champignons toxiques et fait un état des lieux complet sur les différents syndromes qu'ils peuvent provoquer.
- 200 espèces de champignons décrites.
- Près de 20 syndromes identifiés.
- Un complément essentiel aux guides d'identification.
- Le récit de célèbres intoxications au cours de l'histoire.
« Les super-héros envahissent le Québec ! » Voilà ce qu'annonçait en lettres rouges la couverture du premier numéro de la bande dessinée The Valiant, la publication inaugurale des éditions Héros. Le genre superhéroïque est effectivement bien représenté dans la trentaine de librairies spécialisées en bande dessinée des grands centres urbains québécois et dans la plupart des succursales des chaînes de librairies généralistes. Il trône aussi dans les salons dédiés à la bande dessinée et à la culture populaire nord-américaine, comme les Comiccon, qui attirent des dizaines de milliers de visiteurs annuellement. Cependant, on connaît mal les conditions qui ont permis à ce genre profondément américain de franchir la frontière pour venir s'immiscer dans une tout autre aire géographique et culturelle. Comment, depuis les années 1960, les différentes entreprises de traduction et d'édition d'ici ont-elles rendu possible cette adoption du superhéros ? Question à laquelle l'auteur s'attaque - sans peur et sans reproche - dans cet ouvrage richement illustré faisant une passionnante jonction entre cultures populaire et savante et qui fera découvrir au public québécois un pan méconnu de son histoire.
Sylvia Ostry et Kari Polanyi Levitt comptent parmi les figures importantes de l'économie du XXe siècle au Canada, mais aussi dans le monde. Chacune à sa manière, elles ont influencé les politiques publiques nationales et la coopération économique mondiale, et ont participé à la construction de la politique étrangère canadienne. Le récit édifiant qui résulte de leur engagement professionnel expose d'un même tenant les transformations politiques, économiques et sociales des cent dernières années ainsi que l'évolution de la pensée de deux intellectuelles animées par les idéaux de justice sociale qui ont marqué leur époque.
" Affaires culturelles et territoires " ou " le passage d'un Etat tutélaire à un Etat partenaire " ? C'est cette histoire - ou cette hypothèse ? - que le présent ouvrage souhaite illustrer.
Quand on voit les responsables de politiques culturelles - dans l'administration de l'Etat ou dans les collectivités territoriales - passer pas à pas des financements " croisés " aux " conventions de développement " jusqu'à de vrais partenariats, on a le sentiment d'assister en moins de trente ans à une mutation profonde de la gestion des pouvoirs publics, naguère si jacobine.
A travers ces pages qui reprennent les interventions des représentants de l'Etat, des acteurs locaux et des historiens, on voit se rejoindre la patiente déconcentration du ministère de la culture et l'impatiente montée de la décentralisation.
Elles affectent peu à peu toutes les disciplines de l'art et de la culture. L'inscription progressive des diverses politiques culturelles de secteur dans des territoires qui s'identifient peu à peu - pays, communautés d'agglomération, syndicats de communes et districts, réseaux de villes, départements, régions - appelle certes un esprit de partenariat, suggère des formules juridiques nouvelles et suppose une expérimentation en vraie grandeur avant que ne s'engage - comme vient de l'annoncer Catherine Tasca - " une nouvelle étape de la décentralisation culturelle ".
Le présent ouvrage tente d'apporter le concours du regard historique à cette féconde avancée.