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William Golding
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Une bande de garçons de six à douze ans se trouve jetée par un naufrage sur une île déserte montagneuse, où poussent des arbres tropicaux et gîtent des animaux sauvages. L'aventure apparaît d'abord aux enfants comme de merveilleuses vacances. On peut se nourrir de fruits, se baigner, jouer à Robinson. Mais il faut s'organiser. Suivant les meilleures traditions des collèges anglais, on élit un chef. C'est Ralph, qui s'entoure de Porcinet, «l'intellectuel» un peu ridicule, et de Simon. Mais bientôt un rival de Ralph se porte à la tête d'une bande rivale, et la bagarre entre les deux bandes devient rapidement si grave que Simon et Porcinet sont tués. Ralph échappe de justesse, sauvé par l'arrivée des adultes.
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Naufragés sur une île déserte, un groupe de jeunes garçons tente d'organiser sa survie. Mais l'innocence de l'enfance peut-elle résister à l'absence d'espoir ? À quoi se résume la nature humaine quand elle est privée de tout ? Face à ces questions, les garçons réagiront tous différemment ; et face à leurs actions, c'est chaque lectrice et lecteur qui s'y retrouve confronté.
Avec la collection NOT SO CLASSIC , lire en anglais devient un vrai plaisir grâce à :
des notes de vocabulaire en marge (en français et en anglais)
un dossier complet pour comprendre l'oeuvre, ses personnages, ses grands thèmes et son contexte
des quiz pour mémoriser l'essentiel, de façon ludique
des activités pour progresser en anglais, grâce au texte d'un auteur d'exception
+ les vidéos "Previously on"
La synthèse (en anglais) du roman, chapitre par chapitre, pour ne pas perdre le fil de l'histoire.
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Quand un empereur romain décadent et un inventeur de génie se rencontrent, qu'est-ce qu'ils se racontent ? Des histoires de canons, de machines de guerre, de bateaux à vapeur ? Non, la seule chose qui intéresse l'Empereur, c'est l'invention de la cocotte-minue pour pouvoir enfin manger de la viande cuite comme il l'aime... Une histoire à l'humour débridé et fantaisiste, un conte philosophique cruel par l'auteur de Sa Majesté des Mouches.
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William Golding a choisi de transporter le lecteur dans un passé légendaire où son imagination joue en toute liberté : il se sert de la relativité historique pour montrer la pérennité du coeur humain. Un Pharaon arrive au bout de son destin (Le Dieu scorpion). Un homme préhistorique, Crac-Crac, ainsi surnommé parce qu'il a une cheville déboîtée qui produit un double claquement, retrouve sa dignité grâce à une femme. Un empereur romain récompense un génial inventeur, l'envoyé extraordinaire, qui lui propose plusieurs inventions dont celle de la machine à vapeur et de l'imprimerie. L'empereur lui préfère celle de la cocotte-minute...
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Lord of the flies - educational edition
William Golding
- Faber Et Faber
- 1 Septembre 2000
- 9780571056866
Golding's best-known novel is the story of a group of boys who, after a plane crash, set up a fragile community on a previously uninhabited island. As memories of home recede and the blood from frenzied pig-hunts arouses them, the boys' childish fear turns into something deeper and more primitive.
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On l'appelle La Folie Jocelin:c'est une tour, une flèche immense que, au temps des bâtisseurs des cathédrales, un faux mystique, un halluciné, le doyen Jocelin, fait construire. Bien que dépourvue de fondations, elle atteindra le point vertigineux où un clou sacré, soi-disant rapporté de Rome, la fixera au firmament... Mais de combien de drames sera payée l'incroyable gageure?
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Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, poursuit son voyage vers les antipodes, une épopée maritime longue et éprouvante.Les péripéties comiques et tragiques qui se succèdent, décantent et révèlent les caractères : Mr Prettiman, qui semblait un pantin grotesque, apparaît être un humaniste, Miss Granham, la sévère institutrice, doit affronter la tempête... Edmund se languit de l'objet aimé. Le sceptique qu'il était rencontre l'amitié et l'admiration. Il découvre qu'il est capable de sensibilité et d'humanité.La cuirasse de feu, dernier volet de la Trilogie maritime, est l'aboutissement d'un long et difficile voyage dans le temps, l'espace et le coeur humain. William Golding, à la manière des romanciers anglais du XVIII? siècle, nous fait partager son amour de la mer.
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Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, vogue vers l'Australie. Tout au long de la traversée, il tient un journal où il raconte, d'une plume alerte et réaliste, les menus incidents du microcosme où évoluent passagers, officiers et équipage : Mr. Brocklebank, artiste peintre et sa «fille» Zenobia, aux moeurs faciles, Miss Granham et Mr Prettiman, couple inattendu, le capitaine Anderson, farouchement attaché à ses prérogatives... En contrepoint de ce journal, une lettre du révérend Colley à sa soeur éclaire d'un jour différent les événements et les personnages.Dans Rites de passage, premier volet de la Trilogie maritime, William Golding choisit de faire vivre son lecteur à bord d'un grand voilier en présentant une vision des êtres et des faits à la fois comique et sévère, frivole et puritaine.
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Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, vogue vers l'Australie où il doit remplir de hautes fonctions administratives. Au cours d'une traversée fertile en rebondissements, il perd quelques illusions mais gagne en maturité et en sagesse, sans que l'abandonne pour autant son sens de l'humour et de l'observation.Sur le navire prisonnier d'une mer immobile, se déroule un chassé-croisé amoureux. Voici qu'en habits de bal, telles les marionnetes d'une comédie de moeurs, les personnages dansent et médisent, tandis qu'à leur insu une fange d'algues vertes, enserre le navire.Dans Coup de semonce, deuxième volet de la Trilogie maritime, William Golding tient en haleine le lecteur qui s'interroge sur le destin des personnages attachants et énigmatiques, dans le pur style des grands romans anglais du XVIII? siècle.
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Un homme à la mer lutte pour ne pas mourir. Le destroyer à bord duquel il était officier vient d'être coulé. Pareil au ludion dont l'image le hante, l'homme se débat dans les vagues qui l'emmènent à la dérive. Soudain, une forme imprécise surgit de la brume : on pourrait croire l'étrave d'un navire. Ce navire est une île, un rocher perdu...
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Rites de passages ; coup de semonce ; la cuirasse de feu
William Golding
- Folio
- Folio
- 2 Mai 2002
- 9782070424351
Coffret de trois volumes vendus ensemble
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Sammy mountjoy est un peintre connu.
Enfant naturel d'une prostituée, il a été élevé à la mort de celle-ci par un pasteur. quelques années plus tard, il fréquente une école de dessin et flirte passagèrement avec le parti communiste.
Taraudé par le désir quasi obsessionnel de posséder béatrice, il est déçu par cette expérience sexuelle et épouse taffy. au cours de la seconde guerre mondiale, le capitaine mountjoy est fait prisonnier et, indirectement mêlé à une évasion, se trouve confronté aux méthodes nazies.
Or, sammy découvre qu'un jour, quelque part, il ne sait ni où ni quand, il a irrémédiablement perdu sa liberté. cette prise de conscience induit une quête ardente et douloureuse dont chaque péripétie éclaire et approfondit la singularité de son caractère.
Un roman émouvant où l'auteur aborde le problème du choix avec la vigueur et l'originalité qui sont la marque de son oeuvre.
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Trilogie maritime - iii - la cuirasse de feu
William Golding
- Gallimard
- 20 Novembre 1991
- 9782070722914
Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, poursuit son voyage vers les antipodes, une épopée maritime longue et éprouvante. Les péripéties comiques et tragiques qui se succèdent, décantent et révèlent les caractères : Mr Prettiman, qui semblait un pantin grotesque, apparaît être un humaniste, Miss Granham, la sévère institutrice, doit affronter la tempête... Edmund se languit de l'objet aimé. Le sceptique qu'il était rencontre l'amitié et l'admiration. Il découvre qu'il est capable de sensibilité et d'humanité. La cuirasse de feu, dernier volet de la Trilogie maritime, est l'aboutissement d'un long et difficile voyage dans le temps, l'espace et le coeur humain. William Golding, à la manière des romanciers anglais du XVIII? siècle, nous fait partager son amour de la mer.
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Wilfred Barclay, écrivain célèbre, alcoolique, en proie au démon de midi, se raconte sans complaisance et nous fait partager l'itinéraire difficile qu'il parcourt afin d'échapper à la poursuite implacable de Rick L. Tucker, jeune professeur américain bien décidé à devenir son biographe officiel et l'unique spécialiste de son oeuvre. Leurs rapports complexes et destructeurs, teintés de sadomasochisme, les entraînent inéluctablement vers un dénouement inattendu. Tandis qu'une sorte d'osmose s'opère entre les deux protagonistes, un petit nombre de personnages jouent un rôle déterminant dans le déroulement de l'intrigue : Liz, l'ex-épouse toujours présente, Mary Lou la tentatrice, Johnny, un écrivain homosexuel, et Mr Halliday, l'homme invisible, le deus ex machina qui pourrait bien être l'envoyé du destin, sinon le destin lui-même. Avec Les hommes de papier, William Golding a écrit une oeuvre puissante et originale, où la satire est souvent féroce, où la dérision tient, plus encore peut-être que dans ses romans précédents, une place de première importance.
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Christopher Martin, the sole survivor of a torpedoed destroyer, is stranded upon a rock in the middle of the Atlantic. Pitted against him are the sea, the sun, the night cold and the terror of his isolation. To drink there is a pool of rain water; to eat there are weeds and sea anemones. Through the long hours with only himself to talk to, Martin must try to assemble the truth of his fate, piece by terrible piece. While most readers are aware of William Golding as the writer of Lord of the Flies , it is Pincher Martin , his third novel, that speaks most directly to contemporary readers. This shocking, unusual bullet of a book is the definitive survival novel and has an ending that is guaranteed to leave you reeling.
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Parade sauvage est le huitième roman de William Golding. Comme ceux qui l'ont précédé, il se singularise par l'originalité de la pensée et de l'expression. Mais plus encore que les autres, il s'éloigne du banal et de l'ordinaire pour plonger au coeur d'un univers fantastique où le réel est illusoire et l'illusion réalité. Qui est, en réalité, ce Matty, né des flammes du Blitz et personnage clé du roman? Un être psychotique en quête de son identité, ou bien un prophète inspiré? Dans le monde que l'auteur nous dépeint, où l'amour est sans cesse détourné de son objet véritable, où Sebastian Pedigree aime les petits garçons, Sophy son père et Sim Goodchild ses petites voisines..., les personnages se détruisent les uns les autres et s'autodétruisent avec fureur. Leurs vies se confondent dans un tourbillon de cruauté, de terreur et de mystère. Parade sauvage est une oeuvre troublante, complexe, où se mêlent réalisme et poésie. Comme toujours, Golding y exprime l'intérêt profond qu'il porte à l'homme; mais, cette fois, il mène ses personnages au bout de leur destin, dans le climat lourd et maléfique d'un monde décadent.
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Trois récits sont groupés dans La Pyramide. Ils sont liés entre eux par la personnalité du narrateur et par l'unité de lieu:un petit village, Stillbourne, où le narrateur a vécu jeune homme. C'est l'évocation de la vie provinciale anglaise avec ses tabous sociaux, son «cant», ses ridicules, ses drames. Ils illustrent les aspects de cette vie étriquée et dramatiquement comique ou grave.
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Ce recueil de textes rassemblés sous le titre Cible mouvante propose une série d'articles, d'allocutions, de conférences, d'essais dont certains ont été écrits dès 1962. L'auteur l'a scindé en deux grandes parties. Dans la première qui s'intitule «Lieux», il promène le lecteur du Wiltshire à l'Égypte, en passant par la Hollande et la Grèce. Dans la seconde partie, «Idées», il rassemble des réflexions philosophiques et critiques qui non seulement éclairent son oeuvre et son environnement personnels, mais permettent de pénétrer dans l'intimité de sa pensée créatrice. Au fil de ces textes, et sans jamais tomber dans le piège facile du narcissisme, William Golding esquisse un autoportrait plein de fraîcheur et de sincérité. Mais il aborde aussi des sujets variés qu'il traite en profondeur, bien que l'humour et l'esprit n'en soient jamais exclus. Quel que soit son propos, quels que soient ses lecteurs ou son auditoire, l'homme Golding est omniprésent. Quant à l'écrivain, il demeure cet auteur brillant, l'un des plus importants d'aujourd'hui, dont l'oeuvre a été couronnée par le prix Nobel de littérature 1983.
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Avec Journal égyptien, William Golding propose le récit d'un voyage en Égypte «pas comme les autres». Sans les contraintes qu'imposent le roman, ses structures et ses personnages, c'est au fil du Nil que l'auteur, devenu le héros de ses propres aventures, nous livre un carnet de bord plein de verve et d'esprit. L'anecdote y trouve une place de choix sans que, pour autant, soient gommées observations et réflexions. Jamais didactique, jamais pontifiant, il procède par petites touches et nous fait partager ses expériences - souvent drôles - de touriste privilégié. Cette oeuvre légère, proche du reportage et pourtant différente, présente un double intérêt : d'une part, elle nous fait apprécier une Égypte vraie et sincère que ne déguisent pas les faux-semblants d'un tourisme aguicheur et, de l'autre, elle met en évidence l'humour et la fantaisie d'un écrivain trop souvent considéré comme sévère voire hermétique.
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Edmund Talbot, jeune aristocrate anglais, vogue vers l'Australie où il doit remplir de hautes fonctions administratives. Au cours d'une traversée fertile en rebondissements, il perd quelques illusions mais gagne en maturité et en sagesse, sans que l'abandonne pour autant son sens de l'humour et de l'observation.Sur le navire prisonnier d'une mer immobile, se déroule un chassé-croisé amoureux. Voici qu'en habits de bal, telles les marionnetes d'une comédie de moeurs, les personnages dansent et médisent, tandis qu'à leur insu une fange d'algues vertes, enserre le navire.Dans Coup de semonce, deuxième volet de la Trilogie maritime, William Golding tient en haleine le lecteur qui s'interroge sur le destin des personnages attachants et énigmatiques, dans le pur style des grands romans anglais du XVIII? siècle.
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William Golding a choisi de transporter le lecteur dans un passé légendaire où son imagination joue en toute liberté : il se sert de la relativité historique pour montrer la pérennité du coeur humain. Un Pharaon arrive au bout de son destin (Le Dieu scorpion). Un homme préhistorique, Crac-Crac, ainsi surnommé parce qu'il a une cheville déboîtée qui produit un double claquement, retrouve sa dignité grâce à une femme. Un empereur romain récompense un génial inventeur, l'envoyé extraordinaire, qui lui propose plusieurs inventions dont celle de la machine à vapeur et de l'imprimerie. L'empereur lui préfère celle de la cocotte-minute...
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