Fondée en 1888 par trois érudits français et belges (A. Marignan, G. Platon et M. Wilmotte), la revue Le Moyen Âge ne se voulait, à l'origine, qu'un bulletin d'informations et de recensions critiques destiné aux médiévistes de langue française.
Progressivement, la revue s'est entourée de collaborateurs réguliers et d'érudits renommés qui lui permirent d'étendre le champ de ses activités. Désormais, elle allait se consacrer, d'une part, à l'histoire proprement dite et aux sciences auxiliaires, d'autre part, à l'histoire littéraire et à la philologie du Moyen Âge. C'est là un caractère original que n'offre aucune autre revue consacrée aux études médiévales.
La revue Le Moyen Âge est publiée avec le concours du CNRS.
Fondée en 1888 par trois érudits français et belges (A. Marignan, G. Platon et M. Wilmotte), la revue Le Moyen Âge ne se voulait, à l'origine, qu'un bulletin d'informations et de recensions critiques destiné aux médiévistes de langue française.
Progressivement, la revue s'est entourée de collaborateurs réguliers et d'érudits renommés qui lui permirent d'étendre le champ de ses activités. Désormais, elle allait se consacrer, d'une part, à l'histoire proprement dite et aux sciences auxiliaires, d'autre part, à l'histoire littéraire et à la philologie du Moyen Âge. C'est là un caractère original que n'offre aucune autre revue consacrée aux études médiévales.
La revue Le Moyen Âge est publiée avec le concours du CNRS.
Fondée en 1888 par trois érudits français et belges (A. Marignan, G. Platon et M. Wilmotte), la revue Le Moyen Âge ne se voulait, à l'origine, qu'un bulletin d'informations et de recensions critiques destiné aux médiévistes de langue française.
Progressivement, la revue s'est entourée de collaborateurs réguliers et d'érudits renommés qui lui permirent d'étendre le champ de ses activités. Désormais, elle allait se consacrer, d'une part, à l'histoire proprement dite et aux sciences auxiliaires, d'autre part, à l'histoire littéraire et à la philologie du Moyen Âge. C'est là un caractère original que n'offre aucune autre revue consacrée aux études médiévales.
La revue Le Moyen Âge est publiée avec le concours du CNRS.
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
Fondée en 2004, la revue Négociations a pour ambition d'instruire la question de la négociation dans la diversité de ses dimensions, en favorisant la confrontation disciplinaire et en faisant se rejoindre plusieurs traditions d'étude.
D'où :
une revue interdisciplinaire mobilisant les divers regards des sciences humaines et sociales (psychologie, sociologie, philosophie, économie, relations industrielles, sciences juridiques, sciences politiques, histoire, etc.) ;
une revue francophone (Belgique, France, Québec, Suisse, etc.), susceptible de jouer un rôle d'animation et de diffusion scientifique dans nos diverses communautés, mais à vocation internationale dans ses contributions (ouverture aux auteur.e.s anglo-saxon.e.s et/ou non francophones) ;
une revue ouverte sur l'expérience de terrain, destinée tant aux cadres et aux praticien.ne.s qu'aux chercheur.se.s et aux enseignant.e.s, s'inscrivant au carrefour de différentes traditions académiques ou culturelles et proposant des lectures originales des ordres sociaux négociés ;
une revue d'excellence universitaire, offrant à ses lecteurs un cadre de réflexion stimulant mais soucieuse de clarté et de pédagogie.
Fondée en 2004, la revue Négociations a pour ambition d'instruire la question de la négociation dans la diversité de ses dimensions, en favorisant la confrontation disciplinaire et en faisant se rejoindre plusieurs traditions d'étude.
D'où :
une revue interdisciplinaire mobilisant les divers regards des sciences humaines et sociales (psychologie, sociologie, philosophie, économie, relations industrielles, sciences juridiques, sciences politiques, histoire, etc.) ;
une revue francophone (Belgique, France, Québec, Suisse, etc.), susceptible de jouer un rôle d'animation et de diffusion scientifique dans nos diverses communautés, mais à vocation internationale dans ses contributions (ouverture aux auteur.e.s anglo-saxon.e.s et/ou non francophones) ;
une revue ouverte sur l'expérience de terrain, destinée tant aux cadres et aux praticien.ne.s qu'aux chercheur.se.s et aux enseignant.e.s, s'inscrivant au carrefour de différentes traditions académiques ou culturelles et proposant des lectures originales des ordres sociaux négociés ;
une revue d'excellence universitaire, offrant à ses lecteurs un cadre de réflexion stimulant mais soucieuse de clarté et de pédagogie.
La Revue d'Économie du Développement, revue internationale de langue française, est une revue d'analyse économique appliquée au développement et aux relations internationales, un lieu d'échanges scientifiques sur des thèmes économiques essentiels.
La Revue d'Économie du Développement publie des articles qui éclairent la compréhension des comportements et mécanismes économiques dans des pays de structure et de niveau de développement variés ou qui évaluent les fondements des politiques de développement et de coopération.
La Revue d'Économie du Développement est publiée avec le concours de l'Institut des sciences humaines et sociales du CNRS, de la Fondation pour les études et recherches sur le développement international (Ferdi) et de l'Agence française de développement (AFD).
S'avançant sous forme d'un « Varia déguisé », ce numéro d'Afrique contemporaine présente un ensemble d'articles qui, sans être regroupés dans un traditionnel « dossier », n'en sont pas moins organisés autour d'un leitmotiv commun. Ces « Variations combattantes » composent ainsi un ensemble cohérent, qui propose d'examiner la complexité des mobilisations sociales, notamment auprès de la jeunesse.
Dans toute leur variété, les mobilisations analysées dans ce numéro d'Afrique Contemporaine vont de la manifestation de rue au mouvement de guérilla, et de la rébellion à l'insurrection et à la guerre civile. Chacune à leur manière, elles révèlent la pluralité des causes de conflits et des formes d'engagement militant. Cela en sillonnant une bonne partie du continent : de la République démocratique du Congo au Burkina Faso en passant par le Niger, le Mali, le Cameroun, le Tchad et le Sahara occidental. Et en couvrant des temporalités fort variées : le temps long pour les rébellions des Kivus, en remontant jusqu'à la période précoloniale ; une chronique de l'année 2017 pour suivre l'évolution des djihadistes de Boko Haram ; un moment marquant dans la chute du régime de Blaise Compaoré, en 2014, ou dans la lutte d'indépendance du Front Polisario, en 1974, quarante ans plus tôt.
Et parce que tous les combats ne se mènent heureusement pas l'arme à la main, ce numéro propose également, dans sa rubrique « Controverses », une véritable dispute scientifique - poursuivant un débat entamé dans la revue en 2012 - autour de la question de la gratuité des soins en Afrique de l'ouest.
L'innovation est conçue comme le fruit d'un ensemble d'interactions économiques et sociotechniques. Celles-ci irriguent l'organisation, mais se déploient au-delà de ses frontières, elles-mêmes devenues poreuses.
Ce numéro d'Innovations, Revue d'Economie et de Management de l'Innovation comporte deux cahiers spéciaux qui analysent la complexité de cette organisation innovante.
Le premier met l'accent sur les communautés de connaissances, internes et externes à l'organisation, qui jouent le rôle « d'accélérateur d'innovation et de créativité » mais qui soulèvent nombre d'enjeux liés à la coordination, l'utilisation ou encore l'appropriabilité de la connaissance ainsi produite.
Le second cahier présente l'innovation agile comme « activateur de lien », c'est-à-dire comme une capacité de l'organisation à interagir avec l'ensemble des parties prenantes liées à la créativité et à l'innovation.
Selon les projections des Nations-Unies, l'Afrique devrait représenter près de 40% de la population mondiale à horizon 2100. Dans cette perspective, l'industrialisation devient une réponse à l'impérieuse nécessité de créer 10 à 12 millions d'emplois par an pour seulement absorber les nouveaux entrants sur le marché du travail. L'industrialisation (durable) est désormais une priorité majeure de l'agenda des Objectifs du Développement Durable, de l'agenda 2063 de l'Union Africaine, et un thème récurrent du plaidoyer des derniers rapports des institutions internationales et africaines.
Pour autant, cette perspective ne va pas de soi. La transformation structurelle qui historiquement, dans la plupart des pays, a résulté d'un transfert de ressources du secteur primaire au secteur secondaire, puis au secteur tertiaire, tend en Afrique à contourner la séquence de l'industrialisation. Pour la plupart, les économies africaines se sont en effet tertiarisées, en particulier dans le secteur informel, suivant une trajectoire de développement qui se traduit par une sortie plus lente de la pauvreté.
Pourtant, la question de l'industrialisation du continent se pose aussi dans le contexte d'une globalisation en profonde mutation, dans laquelle s'insèrent diversement les trajectoires historiques africaines et dont les cas étudiés ici - du Maroc au Mozambique, en passant par l'Éthiopie, l'île Maurice et l'Algérie - soulignent la grande diversité. Les trajectoires industrielles africaines sont et seront plurielles, et d'évidence se distingueront de celles empruntées par les pays européens, et plus récemment par les pays asiatiques et sud-américains.
Revue scientifique internationale, Travaux de linguistique a comme domaine d'étude privilégié la langue française abordée par le biais de la recherche en linguistique générale.
Elle a pour ambition d'assurer un quadruple rôle de recherche, de documentation, de critique et de communication qui la destine tout à la fois aux spécialistes, aux enseignants et à un public cultivé.
La revue pratique la lecture en double anonyme. Pour garantir une évaluation de qualité, les deux lecteurs sont toujours choisis parmi les spécialistes du sujet en question.
La revue Travaux de linguistique est publiée avec l'aide financière du Fonds de la Recherche Scientifique-FNRS et de la Fondation universitaire.
Hacker, maker, coworker... de nouveaux vocables, associés à des espaces où la frontière entre travail et loisir est parfois floue, sont apparus entre la fin du XXe et le début du XXIe siècle. Ils recouvrent une réalité nouvelle et sont explorés dans ce numéro d'Innovations. Revue d'économie et de management de l'innovation. Les auteurs présentent des études de cas d'espaces de coworking, fablabs et living labs et s'interrogent sur leur articulation avec le territoire dans lequel ils sont insérés, où le rôle des responsables publics locaux est primordial. S'appuyant sur des situations concrètes et des enquêtes sur le terrain, ils montrent comment se construisent les relations de travail dans ces nouvelles entités. Si la créativité et l'innovation sont généralement appréhendées comme étant leur raison d'être, comment les coworkers et autres acteurs des fablabs sont-ils effectivement créatifs ? L'absence de rapports hiérarchiques permet-elle de donner libre cours à l'imagination des uns et des autres ? Quel est le rôle des animateurs de ces lieux ? Quelle est la nature de la gouvernance dans ces nouveaux espaces de travail ? En bref, quel est le facteur immatériel qui rend cette alchimie féconde ?
La Revue d'Économie du Développement, revue internationale de langue française, est une revue d'analyse économique appliquée au développement et aux relations internationales, un lieu d'échanges scientifiques sur des thèmes économiques essentiels. La Revue d'Économie du Développement publie des articles qui éclairent la compréhension des comportements et mécanismes économiques dans des pays de structure et de niveau de développement variés ou qui évaluent les fondements des politiques de développement et de coopération.
Depuis plus de 20 ans et à travers presque une centaine de parutions, la revue Sociétés propose un espace interdisciplinaire ouvert pour les sciences humaines et sociales.
Résolument orientée vers les collaborations internationales, Sociétés s'est fait à la fois l'écho des discussions sur l'épistémologie des sciences sociales, ainsi que des questionnements de terrains et de phénomènes émergents.
Une part importante est donnée aux auteurs étrangers, notamment du Brésil, de la Corée, des États-Unis, d'Italie, d'Allemagne...
Les thématiques de la sociologie de l'imaginaire et du quotidien y tiennent une part importante.
La revue est composée d'un dossier coordonné, de marges et d'un certain nombre de recensions sur les activités, travaux et publications de langue française ou étrangère.
Le comité de lecture - auquel participent E.Morin, M.Maffesoli, P.Watier, A.Gras... - a choisi de publier des textes historiques et parfois inédits (Simmel, Guyau, Durkheim...), des auteurs contemporains (Baudrillard, Ferrarotti, Fabbri...) ainsi que de jeunes chercheurs.Depuis plus de 20 ans et à travers presque une centaine de parutions, la revue Sociétés propose un espace interdisciplinaire ouvert pour les sciences humaines et sociales.
Résolument orientée vers les collaborations internationales, Sociétés s'est fait à la fois l'écho des discussions sur l'épistémologie des sciences sociales, ainsi que des questionnements de terrains et de phénomènes émergents.
Une part importante est donnée aux auteurs étrangers, notamment du Brésil, de la Corée, des États-Unis, d'Italie, d'Allemagne...
Les thématiques de la sociologie de l'imaginaire et du quotidien y tiennent une part importante.
La revue est composée d'un dossier coordonné, de marges et d'un certain nombre de recensions sur les activités, travaux et publications de langue française ou étrangère.
Le comité de lecture - auquel participent E.Morin, M.Maffesoli, P.Watier, A.Gras... - a choisi de publier des textes historiques et parfois inédits (Simmel, Guyau, Durkheim...), des auteurs contemporains (Baudrillard, Ferrarotti, Fabbri...) ainsi que de jeunes chercheurs.
Le rôle de l'action collective entre entreprises dans la conception, la réalisation et la diffusion d'innovations technologiques, organisationnelles et commerciales a été mis en évidence dès les années 1980. Plus tard, les travaux sur l'innovation ouverte ont donné un nouvel élan à la conceptualisation de l'innovation collaborative. Celle-ci peut être analysée à travers les relations inter-organisationnelles dédiées au développement conjoint de l'innovation. Cette approche implique la combinaison de connaissances, de technologies et d'autres ressources au-delà des frontières de l'organisation ou d'une économie nationale. L'innovation collaborative est un processus organisationnel qui intègre une variété d'acteurs publics et privés parfois sous forme de communautés qui créent, partagent et diffusent différentes connaissances.
De nombreux travaux proposent des regards divers sur les dynamiques d'innovation collaborative dans les pays industriels, portés par une certaine tradition en matière d'innovation. Ce numéro spécial d'Innovations, Revue d'Economie et de Management de l'Innovation est dédié à l'étude des spécificités des initiatives mises en oeuvre dans les pays émergents en Europe (Roumanie) et en Afrique (Burkina-Faso, Algérie, Maroc, Tunisie).
Afrique contemporaine est une revue scientifique pluridisciplinaire à comité de lecture dédiée à l'étude des dynamiques africaines, au travers d'articles originaux privilégiant un fort ancrage de terrain.
Elle se positionne comme une plateforme d'échanges et de débats, et s'adresse aux acteurs et observateurs des dynamiques africaines : chercheurs, société civile, gouvernements, organisations internationales, médias.
La revue publie des numéros thématiques (dossiers ou « variations »), des varias sous différentes rubriques indépendantes (« Actualités africaines », « Interview », « Controverses », « Choses vues », « Histoire »), et des recensions d'ouvrages.
Depuis 2003, Afrique contemporaine est éditée par l'Agence française de développement (AFD) et publiée par la maison d'édition De Boeck et sur la plateforme numérique Cairn (www.cairn.info).
Les Cahiers de Psychologie Clinique sont une revue semestrielle interdisciplinaire ouverte à l'expression des diverses approches en psychologie clinique et en psychothérapie. Elle publie des articles cliniques, des articles de recherche, de description et d'évaluation de démarches psychothérapeutiques, de présentation et d'analyse des formations en santé mentale, des notes de lecture. Elle ouvre aussi ses colonnes à l'expression de réflexions sur les problèmes sociaux, éthiques ou politiques liés à l'exercice de la psychologie clinique.
Les Cahiers de Psychologie Clinique sont publiés avec le soutien de la région wallonne et de la Commission communautaire française.
La revue Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux est historiquement la première revue de thérapie familiale à être parue en français. Elle souhaite répondre à trois types de préoccupations :
ouvrir un débat théorique et technique sur les pratiques en thérapie familiale ;
élargir ce débat à ceux qui, de différentes manières, questionnent les institutions et les pratiques actuelles dans le champ de la santé mentale ;
offrir au public francophone des traductions de documents essentiels pour la compréhension et l'évolution des thérapies familiales.
Les Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux consacrent chacun de leurs numéros à un thème spécifique et tentent, dans la mesure du possible, d'inclure des travaux provenant de champs connexes aux thérapies familiales.
Revue franco-belge fondée en 1973 par François Perroux (Collège de France), Mondes en développement évolue et publie à un niveau international des contributions en français ou en anglais, selon le choix de l'auteur. Elle s'intéresse aux différents niveaux de développement des pays dans le monde, selon des valeurs humaines (l'économie des ressources humaines, dynamiques migratoires, sous-développement et pauvreté...), économiques (les coopérations économiques, la mondialisation...), techniques (industrialisation, agriculture, transfert des technologies...), financières (le financement du développement...), commerciales etc.
Participer à la diffusion de travaux universitaires en science politique ; contribuer au débat public en confrontant les thèmes qui y sont débattus à des recherches empiriques ; intervenir dans les controverses qui traversent les sciences sociales ; nourrir le dialogue entre ces dernières, les disciplines historiques et la science politique : ce sont là les principales ambitions de Politix.
En vingt ans, cette revue, animée par des chercheurs et des universitaires, est devenue l'une des revues de référence dans son champ académique.
En permettant à de jeunes auteurs de présenter les résultats de leurs recherches, en s'ouvrant à des travaux novateurs intéressés par la dimension politique des phénomènes sociaux, Politix entend renouveler les thèmes abordés par la science politique et décloisonner ainsi la discipline dans la perspective d'un véritable débat interdisciplinaire.
Les Cahiers de Psychologie Clinique sont une revue semestrielle interdisciplinaire ouverte à l'expression des diverses approches en psychologie clinique et en psychothérapie. Elle publie des articles cliniques, des articles de recherche, de description et d'évaluation de démarches psychothérapeutiques, de présentation et d'analyse des formations en santé mentale, des notes de lecture. Elle ouvre aussi ses colonnes à l'expression de réflexions sur les problèmes sociaux, éthiques ou politiques liés à l'exercice de la psychologie clinique.
Les Cahiers de Psychologie Clinique sont publiés avec le soutien de la région wallonne et de la Commission communautaire française.
Revue franco-belge fondée en 1973 par François Perroux (Collège de France), Mondes en développement évolue et publie à un niveau international des contributions en français ou en anglais, selon le choix de l'auteur. Elle s'intéresse aux différents niveaux de développement des pays dans le monde, selon des valeurs humaines (l'économie des ressources humaines, dynamiques migratoires, sous-développement et pauvreté...), économiques (les coopérations économiques, la mondialisation...), techniques (industrialisation, agriculture, transfert des technologies...), financières (le financement du développement...), commerciales etc.