Au recto, la carte de rando du massif et au verso, la photo aérienne - Échelle variable en fonction du territoire couvert du 1/35 000 au 1/60 000 - Données IGN - Signalisation de tous les sites sportifs, culturels et touristiques - Partenariat avec les institutions territoriales. Format ouvert : 132 x 100 cm - Format fermé : 11 x 25 cm
Au recto, la carte de rando du massif et au verso, la photo aérienne - Échelle variable en fonction du territoire couvert du 1/35 000 au 1/60 000 - Données IGN - Signalisation de tous les sites sportifs, culturels et touristiques - Partenariat avec les institutions territoriales. Format ouvert : 132 x 100 cm - Format fermé : 11 x 25 cm
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Cinquante ans après la thèse de Michel Labrousse (Toulouse antique, soutenue en 1967) paraît la CAG 31/3 - Toulouse, qui termine l'étude du département de la Haute-Garonne dont les deux autres volumes (CAG 31/1 et 2) ont déjà été publiés en 2006 dans la même collection.
L'originalité de ce volume tient au rôle important que Rome a fait jouer à Tolosa dans le développement des échanges entre la Méditerranée et l'Océan Atlantique. Si les deux rives de la Garonne sont bien occupées dès la Pré- et la Protohistoire, c'est l'occupation romaine de l'Espagne après les guerres contre Hannibal et Zama qui explique le développement d'un important commerce des amphores italiennes et de la vaisselle campanienne à partir des années 180-175 av. J.-C. C'est avant tout le site de Saint-Roch qui se développe (plus que celui de Vieille-Toulouse, d'Ancely, du Cluzel, etc). Dès le IIe siècle av. J.-C., les amphores y arrivent par centaines de tonnes accompagnées de vaisselle italienne. Les seules dernières fouilles de la caserne Niel, en 2009-2011, ont livré 98 tonnes d'amphores à vin et 6 tonnes de céramiques campaniennes du IIe siècle av. J.-C. ! L'importance pour Rome de ce commerce, à travers « l'Isthme gaulois », explique que lors de la conquête du sud de la Gaule, en 125-121 av. J.-C., les Tolosates recevront le statut d'alliés, statut qu'ils perdront en 108-106 av. J.-C. après leur ralliement aux Cimbres et à la vengeance du consul Caepio qui a pillé leurs richesses enfouies dans des sanctuaires, épisode d'où est née la légende « l'or de Toulouse ». Dès lors le site de Saint-Roch est rapidement déserté au profit du site d'oppidum de Vieille-Toulouse, au moment où Rome entreprend la pacification des Pyrénées. Vieille-Toulouse se romanise rapidement.
Toutefois, comme au début du règne d'Auguste (en - 27 au plus tard) toutes les villes de Narbonnaise ont reçu le statut « latin », Rome décide de fonder une ville nouvelle (sur le site actuel de Toulouse) et d'abandonner le site de Vieille-Toulouse (qui est déserté aux alentours de 10-8 av. J.-C.). La construction de Tolosa, cette ville nouvelle, s'effectue d'abord sur une génération : on commence par construire le réseau d'égouts (preuve d'une ville « programmée »), les portes de l'enceinte, le pont-aqueduc sur la Garonne et sans doute le théâtre, avant la courtine (longue de 3 km), les rues et les premières maisons (sans doute, sauf exception, pas avant le règne de Tibère).
C'est Domitien qui lui donnera le statut de colonie romaine, à cause de l'influence de son général M. Antonius Primus, natif du lieu, et de l'un de ses citoyens, Rufus, qui a exercé de hautes responsabilités à Athènes.
Le développement local se marque aussi par la création sur la rive ouest de la Garonne d'une agglomération secondaire avec un amphithéâtre (à Purpan, à l'époque de Claude).
Si cette ville garde dans l'Antiquité tardive son rempart augustéen, ce sont les édifices chrétiens (suite au martyre de saint Sernin en 250) puis, au Ve siècle le palais d'un roi wisigoth (à Larrey) qui marquent le paysage. Toulouse fut alors, de 418 à 507, la capitale d'un royaume s'étendant de la Loire à Gibraltar.
La carte archéologique de l'Ain, issue d'une thèse de doctorat soutenue à Lyon, en 1982, avait déjà été publiée en 1990. Non seulement cette première édition était épuisée depuis plusieurs années (et le volume toujours demandé), mais surtout l'archéologie française a subi depuis 35 ans une profonde mutation qui imposait cette refonte totale qui explique qu'au lieu des 190 pages du volume de 1990, cette édition en compte 400 pages, avec un classement renouvelé (non plus par cantons mais par le classement INSEE des communes).
Localisé entre Lyon et la Suisse, ce département a vu, en effet, la multiplication de "grands chantiers" de constructions (liés à la péri-urbanisation et aux "grands travaux" routiers et ferroviaires) qui ont obligé les aménageurs à accepter des "diagnostics archéologiques" et des fouilles (sur des espaces de plus en plus étendus), réalisés non seulement par l'INRAP (Institut national de recherches archéologiques préventives qui a remplacé l'AFAN en 2002) mais aussi par des organismes privés comme Archeodunum et EVEHA.
Les résultats ne pouvaient être que spectaculaires ! C'est, par exemple, le gigantesque projet sur une superficie de 900 ha du Parc industriel de la Plaine de l'Ain (PIPA) (à côté de la centrale nucléaire du Bugey) qui est à l'origine de la découverte de l'agglomération romaine de Saint-Vulbas. Enfin c'est le même auteur, André Buisson, Ingénieur à l'Université Jean-Moulin de Lyon 3 qui signe cette deuxième édition.
Il a su s'entourer de collaborateurs comme Jean-Pierre Legendre (conservateur chargé du département de l'Ain à la DRAC/ SRA de Lyon), comme Isabelle Bollard-Raynaud (conservatrice à la DRAC/SRA Hauts-de-France, à Lille) et comme Anne-Claude Rémy (INRAP, Rhône-Alpes-Auvergne).
Includes cutaways, floorplans and reconstructions of the must-see sites, and street-by-street maps of all the cities and towns of China. This book helps you discover everything region-by-region; from local festivals and markets to day trips around the countryside.
Commémoration : bicentenaire. Venue du roi de Suède en France en 2018 et plus spécialement à Pau, ville de naissance de Bernadotte, compagnon de Napoléon III, devenu roi de Suède en 1818. Depuis la dynaste perdure. Plutôt qu'un énième livre sur le premier de lignée, Eveline Sünström a préféré parler des épouses. Ce livre sera envoyé en service de presse à toute la presse people. Iconographie inédite en France : l'auteure, suédoise d'origine, ayant ses entrées à la cour de Suède.
En Français et en Anglais, une face permet de visualiser la position des différents corps d'armées et l'évolution de la Bataille de Normandie, l'autre face représente une photographie significative de l'ampleur de la gigantesque opération qu'a été le Débarquement en Normandie.
Une face permet de visualiser tous les monuments, châteaux, édifices religieux, contemporains de Guillaume le Conquérant. Chacun de ces lieux de mémoire se trouve répertorié et commenté en français et en anglais.
L'autre face enrichie de nombreuses photographies développe l'histoire de Guillaume le Conquérant. Les principaux lieux de visite y sont mentionnés permettant au visiteur de voyager à son gré à travers la Normandie et de parcourir à son tour les différentes étapes empruntées au cours de la vie de Guillaume le Conquérant.
Le nombre d'automobiles en circulation à la Martinique n'a jamais été aussi élevé.
Pourtant l'usager appelé à utiliser les transports collectifs ou sa voiture personnelle n'a jamais été aussi peu satisfait des conditions de circulation. Le transport maritime inter-île a connu, lui, un développement spectaculaire aussi bien dans l'archipel guadeloupéen qu'entre la Martinique et la Guadeloupe. En une dizaine d'années, le bateau est devenu un concurrent redoutable de l'avion. Confort, sécurité, rapidité et prix modéré ont convaincu une clientèle qui s'amarine jour après jour.
Dans différentes îles de la Caraïbe, face à la mobilité grandissante des populations, les acteurs du développement ne sont pas parvenus à mettre en oeuvre une politique rationnelle de transports intérieurs. Cette situation affecte l'ensemble du fonctionnement socio-économique des territoires concernés. Le contraste est frappant entre la rapidité des échanges avec l'extérieur et la lenteur des déplacements intérieurs.
C'est le cas par exemple de l'agglomération de Fort-de-France. Population autochtone, touristes et usagers captifs du transport en commun ne comprennent pas cette incapacité des acteurs à régler la question du transport en commun urbain ou interurbain, alors que dans certaines îles proches, les professionnels du secteur privé et les pouvoirs publics ont pu y trouver une réponse.
Deuxième volume consacré à la Lorraine, après la Meuse, l'actuel département de la Moselle formait dans l'Antiquité, la partie centrale du peuple des Médiomatriques. Ce peuple contrôlait à la fois le passage nord-sud du Rhin et de ses affluents (Meuse, Moselle et Sarre) et la traversée est-ouest des Vosges par le col de Saverne. Les Médiomatriques occupaient donc les actuels départements de la Moselle et du Bas-Rhin, le nord des départements de la Meuse et de la Meurthe-et-Moselle, une partie de la Sarre et du pays de Bade. De leur oppidum principal, au Fossé des Pandours (Saverne), ils régnaient sur le plateau Lorrain, la plaine d'Alsace et les montagnes voisines. Mais lorsque les Triboques s'installèrent dans l'actuel département du Bas-Rhin, lorsque César eut décidé que le Rhin formerait frontière entre "Gaulois" et "Germains", le territoire des Médiomatriques fut amputé et réduit à celui des deux évêchés médiévaux de Metz et de Verdun. Metz (Divodurum) en devint la capitale romaine. L'ouvrage offre une très longue synthèse générale sur le peuple des Médiomatriques du début de l'âge du fer à la fin du haut Moyen Âge, puis montre le développement agricole et artisanal de cette région placée non loin du limes romain qui a assuré sa prospérité.