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Vie pratique & Loisirs
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Tournoi ; légende d'un centenaire
Jean-roger Delsaud, Jacques Souquet, Nicolas Zanardi
- Midi Olympique
- 30 Octobre 2009
- 9782917200070
Le Tournoi ? C'est d'abord une odeur.
Celle de la bière d'outre-Manche, qui imbibe l'événement de toute son âme, mousse dans les bars pour y fêter la victoire et soigne les blessures du corps et de l'âme, de Saint Mary Street à Temple Bar. Le Tournoi ? C'est une vision. Celle de ces cohortes d'hommes verts traversant la voix ferrée de Lansdowne Road, de cette horde de rouges Gallois franchissant la rivière Taff ; celle du royal pique-nique de Twickenham, ou de la farandole de tartans écossais dansant dans les rues d'Edimbourg.
Le Tournoi ? C'est une musique, évidemment. Fermez les yeux... Land of my Fathers, Ireland's cal ! , God Save the Queen, Flowers of Scotland, Fratelli d'Italia, la Marseillaise... Ce sont également ces douces ballades, du Bread of Heaven gallois au Fields of Athenry irlandais, en passant par le negro spiritual envoûtant du Swing Low, Sweet Chariot anglais, dans lequel s'évanouirent tant d'espoirs de victoire.
Le Tournoi ? C'est aussi un goût. Celui d'un bon whisky, d'une Guinness bien chambrée ou d'un bordeaux savouré au petit matin, à l'heure ou les adultes dorment, dans l'arrière-salle d'un troquet de Saint-Germain-des-Prés. Le Tournoi ? C'est une sensation, enfin. Celle de pénétrer une histoire à nulle autre pareille, écrite sur les vestiges du mur d'Hadrien, les souvenirs de la Guerre de Cent Ans et les insurrections des Gaëls.
Une sensation plus dure qu'une drogue, plus grisante qu'un alcool, plus forte, peut-être, qu'un amour. Ainsi replongent dans leurs chimères, chaque printemps, les grands gosses que nous sommes. Ainsi vit le Tournoi, depuis un siècle. Pour l'éternité.
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" Bénie soit cette Coupe du Monde et béni soit ce jeu qui est le plus grand de tous. " Six semaines de compétition, six semaines de sourires et d'exploits, six semaines d'une magnifique Coupe du Monde. L'exploit puis la désillusion française, la fraîcheur des "petites" nations, la confirmation des Argentins, le baptême des Portugais... Du bonheur, plein de bonheur, de celui dont on fabrique les beaux souvenirs. Voici l'aventure de la sixième Coupe du Monde, merveilleusement contée par Denis Lalanne. Un journal, illustré par plus de 200 photos, écrit semaine après semaine, au fil des émotions de l'auteur, qui se lit comme une odyssée.
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Le pilier est un joueur à part ! Sa morphologie et les tâches spécifiques, et souvent obscures, qu'il a à réaliser sur le terrain en font un homme fort au sens large. L'évocation des Roques, Quaglio Garuet, Ondarts, Paparemborde, Cholley, Califano, Marconnet suffit à imaginer ces êtres forts physiquement comme mentalement. Ce livre plante le décor d'une série d'ouvrages consacrés aux dix principaux postes de jeu de rugby. Il traite à la fois de l'évolution du poste de pilier, de sa philosophie et des moyens et méthodes actuels qui permettent, tant techniquement que physiquement, de "façonner" un pilier. Cet ouvrage est un va-et-vient incessant entre passé et présent, à la recherche des racines qui font le pilier d'aujourd'hui : les piliers actuels sont en effet en partie le fruit du travail réalisé par leurs aînés. Ajoutez à cela de nombreuses anecdotes succulentes, et les ficelles racontées par les illustres, anciens et modernes, de ce poste. Un livre de référence sur des hommes qui appartiennent à une confrérie bien à part !
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Le poste d'arrière est souvent occupé par "des gens qui osent" (Pierre Villepreux). Avec le 2, le 8, le 9, et le 10, ils forment la colonne vertébrale d'une équipe, à laquelle le 15 ajoute une partie de cortex et les quatre membres, tant le poste exige de coordination. Le rugby français a collectionné et cultive encore de nombreux joueurs qui excellent à ce poste. Il suffit de se rappeler des Lacaze, Fourcade, Villepreux, Gabernet, Blanco, Sadourny, et plus récemment de Brusque, Poitrenaud, Laharrague. Ce livre plante le décor d'une série d'ouvrages consacrés aux dix principaux postes de jeu de rugby. Il traite à la fois de l'évolution du poste, de sa philosophie et des moyens et méthodes actuels qui permettent, tant techniquement que physiquement, de "façonner" un numéro 15. Cet ouvrage est un va-et-vient incessant entre passé et présent, à la recherche des racines qui font l'arrière d'aujourd'hui, mais aussi pour anticiper sur les rôles qu'il tiendra dans les années à venir. Ajoutez à cela de nombreuses anecdotes succulentes, et les ficelles racontées par les illustres, anciens et modernes, de ce poste. Un livre de référence sur des hommes qui appartiennent à une confrérie bien à part !
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André boniface, véritable légende du rugby, s'est plongé dans ses albums de photos et dans les archives du rugby pour choisir et commenter les documents qui illustrent ce livre, véritable autobiographie illustrée.
L'enfance dans son village landais de monfort-en-chalosse, l'école de rugby, les premiers matchs à dax puis à mont-de-marsan, sa première sélection en équipe de france en 1954, la finale perdue de 1959, le titre de champion de france en 1963, le match légendaire contre le pays de galles. andré boniface raconte à travers un grand nombre d'illustrations, pour beaucoup inédites, sa vie de joueur de rugby; ou plutôt "leur" vie de joueurs puisque presque à toutes les pages apparaît son frère guy, tristement disparu voici quarante ans.
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Le livre que vous avez sous les yeux n'est pas à proprement parler un ouvrage historique. Les faits rapportés le sont, ici, selon une pente toute personnelle qui ne laisse que peu de place au devoir d'objectivité. Humeurs, rencontres, réflexions, indiscrétions, aveux, mises en perspectives, composent le terreau de ces carnets, écrits au jour le jour sur les vingt dernières années. Je plonge, tout du long, dans l'aventure du "milieu" ruqbystique, ses gâteries et ses poisons, ses parfums et ses colères, sans grande précaution. Des administration se font jour, des contradictions se lèvent, des innocences apparaissent. Un tel, aimé dans les années 80, le sera beaucoup moins dix ans plus tard. Tel autre, honni, me semblera, au fil u temps, receler beaucoup plus de mérite que je ne le subodorais. M'en défendre ? Le regretter ? Nuancer cette somme de jugements à la lumière actuelle ? Ce serait altérer la vérité, "ma" vérité. C'était un sport de copains, c'est devenu un sport d'athlète, rompu aux lois du business. Un dernier mot alors : je suis é au rugby par la main d'un père à six ans. 40 ans sont passés et mes engouements sont les mêmes. M'en défendre ? J'ai aujourd'hui mieux à faire et je me dis que ma petite industrie, aussi dérisoire soit-elle, ne fait de tort à personne. Miracle du temps ou la de la psychanalyse : quand je pense, parle, écrit rugby, j'ai dix ans ! Je sais que ce n'est pas vrai, mais j'ai dix ans... J.V.
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Messieurs rugby ; les grands joueurs français
Prevot Jerome
- Midi Olympique
- 16 Octobre 2006
- 9782952473132
Ils s'appellent Jean-Pierre Rives, Frédéric Michalak, Michel Crauste, Guy et André Boniface, Pierre Villepreux, Yannick Jauzion, Lucien Mias, Fabien Pelous, Jean et Maurice Prat, Pierre Albaladejo. Ils sont 53. Ils appartiennent à la confrérie des joueurs qui, pour l'auteur Jérôme Prévôt et la rédaction de Midi-Olympique, ont, à des titres divers, tout particulièrement marqué l'histoire du rugby français. Ce livre, illustré par plus de 140 photos en noir et blanc et en couleurs, en propose un portrait enlevé et chaleureux.
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Voici des mines au contact desquelles vous n'exploserez pas. Elles ne prêtent qu'à sourire. Sans dégager la moindre méchanceté, elles invitent cependant à réfléchir, par la simple puissance des images, aux bizarreries de la nature humaine. À travers le miroir sans tain que Jacky Redon, portraitiste confirmé, leur a tendu, voici quarante-cinq "tronches" de notre rugby. Henri Rozès en camelot des poncifs qui font recette, s'est mué en zoo-historien. Payez-vous en une tranche, vous ne le regretterez pas !
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En 1907, la fusion du Stade Olympien des Étudiants Toulousains et du Véto-Sport donne naissance au Stade Toulousain.
Deux ans plus tard, les " rouge noir " jouent, et perdent, face à Bordeaux, leur première finale. En 1912, l'équipe de Pierre Mouniq, baptisée la Vierge Rouge, invaincue durant toute la saison, donne à Toulouse son premier Bouclier de Brennus. Cent ans plus tard, le Stade Toulousain est devenu, avec seize Brennus et trois Coupes d'Europe, le club le plus titré de France et du vieux continent ; un club qui a également collectionné les titres à tous les niveaux de la hiérarchie, des équipes réserves aux équipes de jeunes ; un club qui a connu, parallèlement aux heures de gloire, des périodes sombres, des moments de doute.
Des périodes qui ont toutes leur lot d'anecdotes, leurs joueurs célèbres et pittoresques. C'est cette belle histoire, illustrée par près de 300 photos, dont beaucoup d'inédites, que nous racontent les auteurs Bruno Fabioux et Henri Rozès dans ce beau livre, cet " album de famille " d'un club hors du commun.
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Ils sont heureux de jouer, comme à 5 ans. Ils sortent du terrain cabossés mais comblés, fêtent leurs victoires comme leurs défaites et troquent le short pour le blazer voire le smoking. Les rugbymen sont des gentlemen en culottes courtes. On les dit machos, ils sont tendres. On les dit naïfs, ils sont rusés. Bref, les gars de l'Ovalie méritent qu'on se penche sur eux. Avec humour, impertinence, tendresse et légèreté... Cet ouvrage s'adresse à celles qui n'entendent (encore) rien au rugby avec l'ambition de leur dévoiler un univers aussi particulier qu'attachant. Ce décryptage rapide et précis leur donnera les bases, les codes et autres secrets d'initiés bref, les clés du royaume ovale... et le passeport pour savourer deux mois de Coupe du Monde...
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