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Llamadme Ismael. Hace unos anos -no importa cuanto hace exactamente -, teniendo poco o ningún dinero en el bolsillo, y nada en particular que me interesara en tierra, pensé que me iria a nave gar un poco por ahi, para ver la parte acuatica del mundo. Es un modo que tengo de echar fuera la melancolia y arreglar la circulación. Cada vez que me sorprendo poniendo una boca triste; cada vez que en mi alma hay un noviembre húmedo y lloviznoso; cada vez que me encuentro parandome sin querer ante las tiendas de ataúdes; y, especialmente, cada vez que la hipocondria me domina de tal modo que hace falta un recio principio moral para impedirme salir a la calle con toda deliberación a derribar metódicamente el sombrero a los transeúntes, entonces, entiendo que es mas que hora de hacerme a la mar tan pronto como pueda. Es mi sustitutivo de la pistola y la bala. Con floreo filosófico, Catón se arroja sobre su espada; yo, calladamente, me meto en el barco. No hay nada sorprendente en esto. Aunque no lo sepan, casi todos los hombres, en una o en otra ocasión, abrigan sentimientos muy parecidos a los mios respecto al océano. Ahi tenéis la ciudad insular de los Manhattos, cenida en torno por los muelles como las islas indias por los arrecifes de coral: el comercio la rodea con su resaca. A derecha y a izquierda, las calles os llevan al agua. Su extremo inferior es la Bateria, donde esa noble mole es banada por olas y refrescada por brisas que pocas horas antes no habian llegado a avistar tierra. Mirad alli las turbas de contempladores del agua.
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L'école des lettres : le dernier jour d'un condamné
Victor Hugo
- Culturea
- 15 Septembre 2022
- 9782382748411
Eveillé au milieu de la nuit, un condamné à mort éprouve le besoin d'écrire ses pensées. C'est un homme ordinaire dont on ne connait pas le crime. Il exprime son angoisse, ses espoirs, ses souvenirs du procès et d'événements vécus en prison. Il ne sait pas encore qu'il vit ses dernières heures. Il l'apprend au petit jour. Il note alors, avec les sentiments qu'ils provoquent chez lui, tous les petits événements de son transfert, de son attente de l'heure fatale. Ce pathétique plaidoyer contre la peine de mort est précédé d'une préface en forme de scène de théâtre : dans un salon un groupe de personnages ridicules parlent de la peine de mort et de poésie... avant de passer à table.
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Le Père Goriot d'Honoré de Balzac se déploie comme une fresque narrative captivante dans le tumulte social du Paris du XIXe siècle. Eugène de Rastignac, un jeune provincial ambitieux, fait son entrée dans cette métropole effervescente, rêvant de réussite sociale. Son chemin croise celui du Père Goriot, autrefois prospère, qui dilapide sa fortune pour le bien-être de ses filles, les séduisantes Delphine et Anastasie.
L'intrigue prend vie dans un ballet de personnages aux motivations complexes et souvent égoïstes. Balzac explore les profondeurs des relations familiales, mettant en lumière la cupidité, l'amour filial, et les sacrifices déchirants. Le Père Goriot lui-même incarne le dévouement parental au-delà de toute raison, suscitant à la fois admiration et pitié.
Le récit se transforme en une observation acérée des mécanismes sociaux, où la réussite mondaine peut se payer au prix de l'intégrité morale. Les intrigues amoureuses se mêlent aux jeux de pouvoir, créant une toile complexe de relations interconnectées. Delphine et Anastasie, en quête de maintien social, sont prêtes à tout, même à sacrifier l'amour filial.
L'ascension de Rastignac dans la haute société parisienne sert de toile de fond à cette étude des illusions perdues et des compromis moraux. Les salons, les ruelles sombres, et les drames familiaux se tissent ensemble pour créer une atmosphère poignante. Chaque personnage, qu'il soit un étudiant ambitieux, un vieillard désillusionné, ou une jeune femme avide de luxe, contribue à la richesse narrative de ce chef-d'oeuvre.
Ainsi, Le Père Goriot transcende son époque pour révéler des vérités intemporelles sur la nature humaine. Plongez-vous dans ce récit magistral qui explore les profondeurs de l'âme, dévoilant les dilemmes moraux et les tragédies cachées derrière les apparences brillantes de la haute société. Une expérience littéraire inoubliable où chaque page résonne avec la complexité et la beauté des relations humaines. -
Zola peint ici le monde des mines de charbon du nord de la France à la fin du XIXème siècle. On suit la vie quotidienne d'une famille de mineurs, les Maheu, leur travail, leur misère ; celle d'un ouvrier venu d'ailleurs, Etienne Lantier, (un fils de Gervaise : cf. L'Assommoir), qui sera, grâce à son instruction, leur leader dans une grève. On découvre ses aspirations à une vie meilleure, ses réflexions politiques nourries de lectures, sa rivalité amoureuse avec un autre ouvrier. On voit aussi le monde des propriétaires et actionnaires de la mine, qui connaît également ses drames.
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L'action se passe à Vérone et met en scène deux grandes familles ennemies, les Montaigu et les Capulet. À un bal masqué donné par les Capulet, Roméo, un Montaigu, tombe follement amoureux de Juliette, une Capulet promise en mariage au comte Paris, un jeune noble. Il la retrouve à la nuit tombée, sous son balcon, pour lui déclarer son amour. Éperdument amoureux, ils demandent le lendemain au frère Laurent de les marier. Mais leur bonheur sera bref...
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Alors qu'il rend visite à son ami peintre Basil Hallward, Lord Henry rencontre le jeune Dorian Gray. Emerveillé par sa jeune beauté et sa naïveté, il se lie rapidement d'amitié avec lui et dit, en plaisantant, qu'une fois le portrait terminé, seul celui-ci gardera à jamais cette beauté tandis que Dorian vieillira peu à peu. Le jeune homme déclare alors qu'il donnerait son âme pour que ce portrait vieillisse à sa place. A ces mots, tous rirent... sur le moment.
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Martin Eden is a young, hard working man of the working class. After a chance encounter with a beautiful woman of the bourgeoisie, he finds himself in love. In order to win this woman's approval he decides to educate himself: He corrects his speech, he learns proper manners, and he reads the classics of literature, philosophy, and science.
Eventually they become engaged, and he decides to become a writer. But he's continually flummoxed by the greedy and unintelligent editors who are incapable of understanding his work, and by a society that values money as the pinnacle of success.
In Martin Eden, Jack London weaves in several details from his own life and experience as an early writer. However, unlike the titular character, a self-described individualist and Nietzsche-man, London was in reality a vocal socialist, and had intended Martin Eden to be an unflattering caricature of a man who seeks only self-improvement instead of class-improvement. Ironically this was unremarked upon in contemporary reviews. As he inscribed in a copy of the novel given to Upton Sinclair, One of my motifs, in this book, was an attack on individualism. I must have bungled it, for not a single reviewer has discovered it. -
Probably Virginia Woolf's best-known novel, Mrs. Dalloway, originally published in 1925, is a glorious, ground-breaking text. On the surface, it follows Clarissa Dalloway, an Englishwoman in her fifties, minute by minute through the June day on which she is having a party. At a deeper level, however, the novel demonstrates, through an effortless stream of consciousness, the connections formed in human interaction-whether these interactions are fleeting, or persist through decades.
This is a novel to read and cherish, if only to marvel at Woolf's linguistic acrobatics. Words and phrases swoop and soar like swallows. Woolf's sentences are magnificent: sinuous, whirling, impeccably detailed. As narrative perspective shifts from character to character-sometimes within a single sentence-readers come to understand the oh-so-permeable barrier between self and other. Through Clarissa we meet Septimus Warren Smith, his wife Rezia, and a cast of dozens more, all connected by the leaden circles of Big Ben marking the passage of every hour, by the pavements of Bloomsbury that lead everywhere and nowhere. Modernist London has never been portrayed more sublimely: replete with birdsong and flowers, resplendent in sunshine, youthful yet eternal-and even in the aftermath of war and pandemic, resilient.
Mrs. Dalloway is Woolf's attempt to express that which may be inexpressible. It offers a close examination of how difficult it is, even when our hearts are brimming, to say what we really feel; and it examines the damage we inflict through our reticence with words, our withholding of love. It is a novel of the soul, and a work of immense beauty. -
Esmeralda is a breathtaking beauty and attracts the attention of men all around her, including an actor, a captain, and an archdeacon, to whom she is of course forbidden. But because of a kindness she paid to him, there is one whose love for her is pure: the archdeacon's bellringer. The actions of the archdeacon, who cannot control his lust for the young woman, ultimately draws all four men into her orbit, and his, with tragic consequences.
Hugo's tragic novel is an ode to gothic architecture in general and that of Notre-Dame de Paris in particular. Hugo was upset both at the neglect of buildings like Notre-Dame, and the modernization of those that weren't being neglected. By centering on the building, he was able to bring all classes into his story: from kings and nobles to bellringers and sewer rats. The first American translation changed the title to The Hunchback of Notre Dame, shifting attention to the bellringer, but Hugo's focus was always on Notre-Dame and the beautiful gothic architecture of Paris. -
Le marquis milanais Fabrice del Dongo a 17 ans en 1815, au moment où Napoléon tente de reprendre le pouvoir. Il quitte clandestinement l'Italie pour rejoindre l'armée impériale, et arrive à Waterloo le jour de la bataille. De retour à Milan, il est rejeté par sa famille. Traqué par les légitimistes, il se réfugie à Parme où il bénéficie de l'appui de sa tante, la belle Gina, femme influente. Il y fait une carrière ecclésiastique ... agitée ! Dans ce roman Stendhal brosse une grande fresque de l'Italie du nord de la 1ère moitié du XIXème siècle, où intrigues politiques et amoureuses se croisent et se mêlent.
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Bernardo: ¿Quién esta ahi? Francisco: No, respóndame él a mi. Deténgase y diga quién es. Bernardo: ¡Viva el Rey! Francisco: ¿Es Bernardo? Bernardo: El mismo. Francisco: Tú eres el mas puntual en venir a la hora. Bernardo: Las doce han dado ya; bien puedes ir a recogerte Francisco: Te doy mil gracias por la mudanza. Hace un frio que penetra y yo estoy delicado del pecho.
Bernardo: ¿Has hecho tu guardia tranquilamente? Francisco: Ni un ratón se ha movido.
Bernardo: Muy bien. Buenas noches. Si encuentras a Horacio y Marcelo, mis companeros de guardia, diles que vengan presto.
Francisco: Me parece que los oigo. Alto ahi. ¡Eh! ¿Quién va? -
On est sans nouvelles, depuis des mois, de Thésée, roi de Trézène (cité grecque de l'Antiquité). Son fils, Hyppolyte, s'apprête à partir à sa recherche. Il veut ainsi fuir sa belle-mère, Phèdre, qu'il déteste, et Aricie, fille d'un clan ennemi, qu'il aime. Un messager annonce la mort de Thésée. Phèdre, passionnément amoureuse d'Hyppolyte lui déclare alors son amour, qu'Hyppolyte rejette avec horreur. Mais la nouvelle était fausse : Thésée revient. Ni sa femme ni son fils, tous deux coupables d'un amour interdit n'osent se présenter devant lui. La servante de Phèdre tente de la sauver par un mensonge ...
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Don Juan collectionne les conquêtes féminines. Les frères de Dona Elvire le recherchent pour venger leur soeur qu'il a enlevée d'un couvent puis abandonnée. Ce grand seigneur espagnol « libertin » qui remet en question tous les fondements de la société de son époque (religion, fidélité conjugale, autorité paternelle), mais qui se montre aussi généreux que courageux, pourrait être un personnage tragique. Mais la façon dont il ridiculise d'autres personnages, et la lâcheté burlesque de son valet Sganarelle, tirent la pièce vers la comédie. Don Juan est, avec Le Misanthrope (écrit à la même époque), une des pièces les plus « sérieuses » de Molière.
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L'Assommoir est un roman écrit par Émile Zola, l'un des chefs de file du mouvement littéraire naturaliste en France au XIXe siècle. Voici un résumé de l'oeuvre :
L'Assommoir est le septième roman de la série Les Rougon-Macquart de Zola. L'histoire se déroule dans les quartiers populaires de Paris et dépeint la vie difficile et les luttes des ouvriers et des classes sociales défavorisées pendant la seconde moitié du XIXe siècle.
Le roman suit la vie de Gervaise Macquart, une blanchisseuse, et de sa famille. Gervaise travaille dur pour subvenir aux besoins de sa famille, mais elle est confrontée à des défis constants tels que la pauvreté, l'alcoolisme et les relations difficiles. L'histoire explore les pressions sociales, les tentations destructrices et les conséquences du mode de vie ouvrier dans un environnement urbain en mutation.
L'Assommoir met en lumière les effets dévastateurs de l'alcoolisme sur la vie de Gervaise et de son entourage. Le titre Assommoir fait référence à un lieu où l'on peut se saouler, mais il symbolise également la spirale descendante dans laquelle les personnages sont entraînés.
Le roman illustre les principes du naturalisme littéraire en examinant les influences de l'environnement social, économique et biologique sur le comportement humain. Il offre également un portrait réaliste et sans fard de la vie dans les milieux populaires de l'époque. -
Eugénie Grandet est la fille unique d'un tonnelier de Saumur très riche mais très avare et qui fait vivre sa famille dans une quasi-pauvreté. Elle est naïve, docile et, comme sa mère, tyrannisée par son père. Elle tombe amoureuse de son cousin Charles. L'amour lui donne alors la force d'affronter son père. Cependant Charles doit partir aux Indes pour tenter d'y faire fortune. Il lui promet de l'épouser à son retour. Mais ... Inclus dans la partie de La Comédie Humaine intitulée Scènes de la Vie de Province, ce roman, un des plus célèbres de Balzac, montre avec réalisme la vie sociale d'une ville de province (Saumur) vers 1830 et peint, à côté d'un avare dévoré par sa passion, un attachant portrait de femme.
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Pendant la Guerre de Sécession une tempête jette sur une île inconnue le ballon avec lequel cinq hommes, qui étaient prisonniers des sudistes, se sont échappés. Grâce aux compétences techniques de l'ingénieur Cyrus Smith et aux connaissances botaniques du jeune Harbert, le groupe, qui compte aussi le journaliste Spilett, le marin Pencroff et l'esclave affranchi Nab, va pouvoir survivre. Les conditions ne sont pas faciles et certains événements viennent les compliquer. Mais ils semblent bénéficier d'une aide mystérieuse dans les moments les plus tragiques. On assiste aussi à l'humanisation parallèle d'un orang-outan et d'un autre naufragé qu'une longue solitude avait animalisé, ainsi qu'à la réapparition de deux personnages disparus dans deux romans précédents de J. Verne.
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Le roman raconte la lutte des petits commerçants contre l'expansion d'un grand magasin appelé « Au bonheur des dames », et le triomphe de ce dernier. Il conte aussi l'ascension d'une petite vendeuse, Denise, que tout le monde méprise au début. Sérieuse et opiniâtre, elle refuse les avances du patron qui voudrait en faire sa maîtresse, et finira par l'épouser. Zola trace un tableau complet de ce phénomène nouveau qu'est le grand magasin sous le Second Empire : son fonctionnement, son personnel et ses problèmes, sa clientèle.
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Après la guerre de Troie, Andromaque, la veuve d'Hector, et son fils Astyanax sont prisonniers de Pyrrhus, en Epire. Pyrrhus voudrait l'épouser, mais elle le repousse. Un envoyé des Grecs, Oreste, vient demander la mort d'Astyanax, pour anéantir la lignée d'Hector. Pyrrhus utilise cela pour faire fléchir Andromaque : si elle refuse de l'épouser il livrera son fils aux Grecs. Andromaque cède. Mais Hermione, que Pyrrhus devait épouser, demande à Oreste, amoureux d'elle, de l'assassiner s'il épouse Andromaque ...
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La Bête Humaine est une sorte de roman noir aux multiples péripéties. Au sein de la compagnie de chemin de fer de la ligne Paris-Le Havre, où Jacques Lantier, un fils de Gervaise (cf. L'Assommoir) est conducteur de train, s'entrecroisent plusieurs histoires d'amour, et s'accumulent les crimes : viols, assassinats, sabotage meurtrier. Jacques Lantier, mêlé à certaines de ces histoires, est en proie à des pulsions meurtrières auxquelles il a bien du mal à résister, et qui le poussent à tuer les femmes qu'il désire. Mais son grand amour est la « Lison », sa locomotive.
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L'antihéros, Jean des Esseintes, après une vie agitée pendant laquelle il a fait l'expérience de tout ce que pouvait lui offrir la société de son temps, se retire dans un pavillon, à Fontenay-aux-Roses, dans lequel il réunit les ouvrages les plus précieux à ses yeux, les objets les plus rares, pour se consacrer à l'oisiveté et à l'étude. De l'ensemble de la littérature française et latine, il ne retient qu'un petit nombre d'auteurs qui le satisfont. Il admire les tableaux de Gustave Moreau, les oeuvres d'Odilon Redon, crée des parfums raffinés, un jardin de fleurs vénéneuses...L'anecdote de la tortue constitue à de nombreux égards une métaphore de la destinée du héros : il fait incruster dans la carapace de l'animal des pierres précieuses, mais celui-ci meurt sous le poids des joyaux.
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Les Fourberies de Scapin est une comédie de Molière en trois actes et en prose, créée au théâtre du Palais-Royal à Paris le 24 mai 1671. Cette comédie de Molière est fortement empreinte de comédie italienne.
Résumé :
Géronte et Argante reviennent de voyage. En leur absence leurs fils ont pris des libertés : Léandre, le fils de Géronte est tombé amoureux de Zerbinette, une esclave égyptienne ; Horace, celui d'Argante a épousé Hyacinthe, une jeune fille pauvre qu'on dit orpheline. Scapin, le valet de Léandre est chargé de faire accepter à Géronte le mariage de son fils, et de trouver la grosse somme d'argent exigée par les Egyptiens pour la liberté de Zerbinette. Par toute une série de fourberies burlesques Scapin parviendra à duper les deux vieillards pour remplir sa mission, et même à se venger de Géronte qui lui avait fait perdre la confiance de son maître...
Citation célèbre :
J'ai sans doute reçu du Ciel un génie assez beau pour toutes les fabriques de ces gentillesses d'esprit, de ces galanteries ingénieuses à qui le vulgaire ignorant donne le nom de fourberies ! -
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Gustave Flaubert's Salammbo is a historical novel set in ancient Carthage during the tumultuous times of the Mercenary War. The story unfolds with themes of war, love, and political intrigue.
Set against the backdrop of a city under siege and the conflict between Carthaginians and their mercenary armies, the narrative captures the essence of an epic struggle for power and survival. Through the character of Salammbo, the priestess of Tanit, and her forbidden love for the mercenary leader Matho, readers are transported into a world of passion and intrigue.
The novel delves into themes of love, betrayal, and the consequences of political ambition. As Salammbo grapples with her feelings for Matho and the complex web of alliances and betrayals in Carthage, she embodies the complexities of human emotions and the moral dilemmas faced by individuals in times of war.
Salammbo is a vivid portrayal of ancient Carthaginian society, its rituals, and the brutal realities of war. Gustave Flaubert's storytelling invites readers to immerse themselves in a world of historical drama and political upheaval, emphasizing the enduring themes of love and ambition against a backdrop of conflict.