Comédienne de Molière : journal d'Armande, 1658-1661

À propos

«25 octobre 1658. Hier, nous avons joué devant le roi! Désormais, nous avons un théâtre et portons le nom de Troupe de son Altesse Philippe d'Orléans! Moi, la plus insignifiante actrice de la troupe, je frémis à la pensée que nous pourrions décevoir notre royal protecteur. Quelle doit être l'appréhension de Jean-Baptiste! J'aimerais le réconforter, mais je reste au coin du feu, à regarder danser les flammes, dans lesquelles je vois des rideaux ardents qui se lèvent pour mon premier grand rôle...»En fin d'ouvrage, un supplément historique sur le théâtre et les comédiens au XVIIe siècle.


Rayons : Jeunesse > Littérature Enfants > Romans


  • Auteur(s)

    Christine Féret-Fleury

  • Éditeur

    Gallimard-Jeunesse

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    13/01/2022

  • Collection

    Folio Junior ; Mon Histoire

  • EAN

    9782075164696

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    160 Pages

  • Longueur

    18.5 cm

  • Largeur

    13 cm

  • Épaisseur

    1 cm

  • Poids

    116 g

  • Lectorat

    à partir de 10 ANS

  • Support principal

    Poche

Christine Féret-Fleury

  • Pays : France
  • Langue : Francais

Christine Féret-Fleury est l'auteur d'une cinquantaine d'ouvrages pour la jeunesse, mais aussi de romans pour les adultes et d'anthologies. Dans la collection Mon Histoire, elle a publié SOS Titanic. " L'époque de la Commune, si proche et si lointaine à la fois de la nôtre, a été l'occasion pour moi de découvertes passionnantes. Les photographies prises de Paris en 1870-1871 sont particulièrement émouvantes car elles nous restituent un passé souvent réduit à quelques lignes dans les manuels d'histoire... Je tiens à remercier Marc Séassau, qui m'a indiqué des sites où consulter d'anciens plans de la capitale et m'a prêté un ouvrage essentiel, Paris, ses organes, ses fonctions et sa vie, de Maxime Du Camp. Dans un ancien " livre de prix " trouvé dans la bibliothèque de ma grand-mère, Paris sous les obus, j'ai déniché des anecdotes intéressantes, notamment celle du " traître " dont le couteau sentait l'oignon ! Enfin, plusieurs phrases attribuées à Louise Michel dans ce roman sont directement tirées de ses Mémoires (La Commune, histoire et souvenirs). "

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